Je partage entièrement les doutes de Geb et d’Ozerfil.
En complètement pessimiste.
Les optimistes incorrigibles veulent peut-être croire que les désillusions de l’Europe de l’Est, dont les peuples voulaient tellement croire au paradis capitaliste, pourraient servir de leçon aux Cubains, mais l’espoir de se faire sa petite fortune personnelle sera toujours le plus fort.
La Terre tourne, on le sait mais ça ne se voit pas. On voit tourner le soleil.
De même, Cuba a une des meilleurs espérances de vie en bonne santé du continent américain, peut-être la meilleure éducation, le meilleur bilan d’Amérique Latine des 50 dernières années en matière de droits de l’homme (et selon Amnesty International à qui ça fout le cul en larmes de dire du bien des cocos !), mais il faut l"avoir lu. Ça ne se voit pas !
Et ce sont les touristes américains qui influenceront les Cubains, pas l’inverse.