Reporters sans frontières dont l’obsession depuis sa création a été de diffamer Cuba (avec un certain succès, jusqu’au jour où Obama a sifflé la fin du lourd manichéisme), publie chaque année son classement de « la liberté de la presse », établi selon des critères mystérieux, avec des experts inconnus et qui tiennent à le rester.
En 2003, RSF a titré son classement ainsi : « Cuba avant dernier, juste devant la Corée du Nord ».
A rapprocher de l’histoire de Marius qui, s’étant mesuré sans succès à son ami Olive dans une course cycliste à deux, proclama fièrement qu’il avait fini deuxième et Olive avant dernier.
Dans le même esprit, la presse a eu du mal à accepter que, lors de son voyage à Cuba, le pape n’ait pas endossé la soutane de Robert Ménard (ou de son pitoyable successeur) .
Le journal espagnol El Païs s’est distingué avec des titres mettant en évidence ce qui n’a pas eu lieu : « Le pape n’émet aucun message critique contre les Castro » et « Le pape évite toute référence aux dissidents pour son premier discours à Cuba » et « Les silences de François ».
D’ici que François dise préférer les écoliers cubains qui se réclament de son compatriote le Che à ceux des USA qui adulent Mikhaïl Timofeïevitch Kalachnikov !
Théophraste R. (Organisateur de cures au Vatican pour les journalistes qui ne digèrent plus leurs propres écrits).
Des cures avec hosties en formes de suppôts de satan ou de zitoire ???