Migrants : une éruption de « bonté », de « générosité » et de « détermination » inattendue, soudaine, étonnante, incongrue et exceptionnelle (pour ne pas dire étrange)

Alors c’était donc vous...Théophraste R ?
Billet tout bonnement génial, même si le mot est impropre au contexte décrit.
La phrase en exergue est toutefois à mon dégoût (oui ici, ce ne peut être que de dégoût que l’on parle) :
« même quand ils sont bons ils sont cons. »
Car des démons ne sauraient être bons. Cela se saurait.

""Bienvenues pour la nième fois dans l’univers ouaté des bisounours du monde politico-médiatique occidental...""

Ou l’art de faire prendre les bêtes à bon dieu pour des canards sauvages.....

« Où veut-il en venir, le saligaud ? »

Depuis que nous avons droit à ce déluge et à cette exhibition indécente de supposés bons sentiments, je me pose en effet cette question.

Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Une occasion toute trouvée, la situtation calamiteuse du peuple grec aurait du les faire réagir et leur inspirer la même empathie. Non, ?

Même question:qu’est-ce qui se prépare, ou se déroule déjà derrière la fumée ?
Rapidement on a eu des "Mistral" (gagnants pour Dassault, perdants pour la Paix).
Le démantèlement du code du travail est quand même resté visible, mais sur un ton léger (allègement des contraintes d’exploitation des salariés, tout en les protégeant, légèrement, de préférence).
Le TAFTA reste discret, mais c’est normal pour un agent secret US.
Le Crédit Agricole va sortir 1 milliard d’Euro pour faire plaisir à la "justice" de l’oncle Sam (ainsi les banques françaises contribuent au moins à la relance d’une économie !).
Alors quoi d’autre ?
Interrogation interminable, et comme Viktor, j’en ai marre.

Les saligauds finiront-ils par s’émouvoir des gosses qui crèvent à Gaza ?

Malgré toute la compassion et l’empathie pour ces déshérités que je peux avoir, je pense à nos malheureux nationaux toujours plus nombreux ces dernières années à être dans la dêche et en parlant daech, il faudrait qu’ils aillent demander à Botul Lévy entre deux voyages de propagande conspiratrice chez les néo nazis ukrainien et chez les terroristes Lybiens, un visa syrien...
Cela commence à être un peu gros, les ficelles sont sacrément éculées,
ter répétita, aprés 14 - 18, 39 - 45, ?? - ??
Faites vos jeux, deux dates, à qui perd perd,
et ce sont toujours ces mêmes traîtres de politiques qui nous mènent dans le mur !
Je repense au superbe bouquin de J M Coetze,
en attendant les barbares,
eh bien nous aussi nous attendons sidérés les barbares créés de toutes pièces par la encore plus monstrueuse et inhumaine CIA et qui est en train de renvoyer l’humanité à l’âge de pierre et du solex pendant que le transhumaniste verra ses implants et son dernier iphone rouiller inexorablement...

Cet élan de solidarité est pour le moins suspect. D’un bras, on accueille les migrants, de l’autre, on arme, on entraîne, on finance les terroristes de tout bord pour faire davantage de migrants qu’il faudra accueillir à leur tour. Pourquoi, ces quotas de migrants n’inclut pas les monarchies du Golfe ?

Je me pose les mêmes questions que Amokrane...

Tout est contradictoire dans ces décisions !!

Est-ce la désorganisation totale, la panique et la politique du coup par coup ou y a-t-il de savants et tordus calculs qui m’échappent ?!!

Je n’en sais !
Je vois bien qu’on fonce dans le mur et je me dis que nos dirigeants doivent aussi le voir...
Mais, alors, pourquoi agissent-ils ainsi ?!!

Et pourquoi ces quotas n’incluent pas les EEUU ????

Bravo Viktor Dedaj !

La racaille qui nous gouverne correspond tout à fait au portrait que vous en faites, même au Québec. À partir de « LA photo », les « vautours de la compassion » comme dit Gilles Proulx, un chroniqueur indépendantiste (de droite, mais il a raison pour une fois), ouvrent grand leur coeur nécrosé. La dictature médiatique, plus mensongère que jamais, pleure à chaudes larmes. Et les zombies d’applaudir les politiciens, cette nuisance publique...

Comme dit Jean Ziegler dans L’Empire de la honte « Les seigneurs de la guerre économique ont mis la planète en coupe réglée. Ils attaquent le pouvoir normatif des États, contestent la souveraineté populaire, subvertissent la démocratie, ravagent la nature, détruisent les hommes et leurs libertés » — « La dette et la faim sont les deux armes de destruction massive utilisées par les maîtres du monde pour asservir les peuples, leur force de travail, leurs matières premières, leurs rêves. » En page 17. Mais il avait bien dit en page 15 « il s’agit de distinguer avec précision les réfugiés économiques des réfugiés de la faim. Les réfugiés économiques sont des personnes qui migrent par « convenance ». Les réfugiés de la faim, migrent par « nécessité » »

...Et ce sont les politiciens au service des seigneurs de la guerre économique qui pleurnichent...

Michel

A propos des diverses manipulations dont nous faisons l’objet : lire Gouverner par le chaos. Il y a peut-être une manipulation qui aura échappé à certains lecteurs, même attentifs, du Grand Soir...

Tables des matières :

Politique et massification
Politique et mondialisation
Qu’est-ce que l’ingenierie sociale ?
La stratégie du choc
La conduite du changement
Le social learning
La fabrication du consentement
Le tittytainment
Le pied-dans-la-porte
Le mind control
Le virtualisme
La guerre contre-insurrectionnelle
Le reality-building
Le management négatif
La théorie de la jeune-fille
Le biopouvoir
Conclusion provisoire
L’appel des résistants

@Scalpel
Car des démons ne sauraient être bons. Cela se saurait.
C’est faux, vous cherchez seulement à vous exclure. Vous devrez avoir inévitablement un petit démon qui sommeille en vous. Si un jour, il se réveille, vous allez vous voir en lui en ange et commenceriez à vous admirer en lui pour évacuer toute remise en cause de ce que vous êtes devenu. Comment, moi l’ange, puis-je être traité de démon ? Ce monde qui résiste à mon charme, à ma bonté et ma beauté, doit être nécessairement un faux, ou un monde en déroute qui ne sait où il va.
Cher Scalpel, je m’exclus pas, mais j’ai un remède contre ça. Je garde un œil tendre sur mon démon et je lui chante des berceuses pour qu’il continue à dormir. Dans l’une de ces berceuses, je lui dis :
Tu as le meilleur lit du monde,
n’est-il seulement un parterre propre sous un toit,
car beaucoup n’en possèdent pas.
Tu a le meilleur habit du monde,
est-il fripé et passé de mode,
car beaucoup n’en possèdent pas.
Tu as le meilleur moyen de transport,
les transports en commun,
là où on serre de près et on écrase ton obligé,
mais ne se plaint pas,
car beaucoup ne peuvent se le permettre.
Et ainsi de suite.
Il y a beaucoup d’autres berceuses, mais je dois respecter l’espace de la sandwicherie que sont devenues nos espaces de partage et d’échange. C’est suffisant pour le moment et on n’a pas à faire la fine bouche. L’excès n’ajoute rien au vrai.
Conclusion :
on peut être bon et con à la fois.

Gilles Proulx, un « poubelliste », cité dans un commentaire de Le Grand Soir… Pourquoi pas les autres "duchesses" du Carnaval de nos radio-poubelles comme A. Arthur, É. Duhaime, D. Maurais, S. Bouchard ou N. Normandeau tant qu’à faire !

Si la "gauche" se met à citer ces affabulateurs-trices dans les commentaires de mes sites de ré-information favoris (jusqu’en France, putain de bordel de merde), « ben, on est pas sorti de la fosses à marde ! », comme le dirait feu mon grand-père.

Pour DePassage… le Québécois,

Son titre me plaisait : Les vautours de la compassion. J’ai aimé, mais n’avais pas cité ce passage : « Les entend-on réclamer l’asile pour les Yézidis, cette minorité religieuse dont les hommes sont massacrés et les femmes réduites en esclavage, ou encore les chrétiens, dont les enfants se font parfois crucifier aux portes des maisons par l’État islamique ? Non. » J’avais utilisé ce texte pour montrer à un ami indépendantiste fervent lecteur du « poubelliste » à quel point Péladeau était pourri.

Cependant, votre commentaire dans son entièreté m’impressionne. « Gilles Proulx, un « poubelliste », cité dans un commentaire de Le Grand Soir… Pourquoi pas les autres "duchesses" du Carnaval de nos radio-poubelles comme A. Arthur, É. Duhaime, D. Maurais, S. Bouchard ou N. Normandeau tant qu’à faire !
Si la "gauche" se met à citer ces affabulateurs-trices dans les commentaires de mes sites de ré-information favoris (jusqu’en France, putain de bordel de merde), « ben, on est pas sorti de la fosses à marde ! », comme le dirait feu mon grand-père. »

Je le trouve criant de vérité. Merci pour cet acte de sensibilisation.

Peupére avait raison !

Je vous promets DePassage que c’est le dernier. Après tout, il y a à gauche suffisamment de gens brillants sans que nous soyons obligés de citer les agents de propagande de la dictature médiatique.

Michel