Au Bourget, les gens bien élevés ont applaudi, non pas la politique future exprimée par F. Hollande dans cette fameuse phrase (c’était bien trop choquant), mais l’intelligence et l’habileté rhétorique du "communiquant" qui la lui avait préparée ! Tout le monde connaissait en effet l’adresse et la bonne bouille des Gattaz père et fils…et autres DSK.
Après, à Londres, à la City, devant un parterre de chapeaux melons et de parapluies en toile de Manchester, les propos de F. Hollande ont été à la lettre les suivants : "Fuck my nation, fuck my people, fuck my country, and most important, fuck the poor". Ensuite de quoi les descendants des Bretons de Goscinny lui ont offert une chope d’ale tiède et un exemplaire des Mémoires de Churchill (le même que peu de temps auparavant, ils avaient dédicacé à Sarkozy). Depuis, il aussi est fidèle à ses promesses que Sarkozy aux siennes. Alors, n’oubliez pas de voter utilo-Medef, so british !