Qu’on apprécie ou non JLM ,au Grand Soir surtout, le qualifier ainsi c’est déconsidérer tout le FdG, et personne n’a besoin de ça en ce moment.
Comme le disait si bien Shakespeare "Etre ou ne pas être..."
Il ne s’agit pas de "qualification". mais d’un ressenti motivé... Par un certain nombre d’éléments qu’on n’a pas la temps d’exposer ici mais qui sont connus de tous ceux qui suivent l’Histoire, et surtout qui la suivent en direct depuis plus de 50 ans, quant ils n’y ont pas eux-même participé plus ou moins volontairement.
Et ça ne concerne pas que Mélenchon.
Quant à "disqualifier" Mélenchon, il n’a besoin de personne. Il y arrive très bien tout seul.
Y a qu’à voir ses résultats de crédibilité dans les masses.
Comme il pourrait se "requalifier" s’il en avait la "volonté" ou plutôt la "possibilité". Et je connais beaucoup de gens qui seraient prêts à l’y aider, quitte à faire une parenthèse prudente sur son passé sulfureux
Mais ceux qui le drivent depuis longtemps ne lui en laisseraient pas la possibilité matérielle. C’est lourd les casseroles. Surtout quand elles sont dorées.
Pour le reste, pour les considérations sur les répercussions sur les militants du FdG, qui sont certainement pour la plupart de braves gens, qu’ils ne soient pas capables de décoder la manoeuvre, ne me donne pas une image bien positive de leur capacité à ne pas se faire entuber.
Et je pense ici à un certain nombre de mes anciens camarades du PCF qui ont simplement changé de gourou...
De Thorez à Melenchon en passant par Hue, vue la descente verticale et la sinuosité du parcours, ça fait une drôle de compétition de bobsleight. Et comme toutes les glissades ça finit pas vers le haut...
Tout ça ne m’incitant pas à leur remettre les clef de mon avenir, ni celles de celui de ma famille.
Alors c’est pas la peine de tenter de me culpabiliser... Je le suis déjà assez d’avoir fermé ma gueule, ou plutôt de ne pas l’avoir assez ouverte, dans mon Ex-Parti, alors qu’il pouvait encore quelque peu être qualifié de "communiste".
Lorsque j’ai du assister impuissant à sa démolition politique et structurelle de l’intérieur par ceux qui en sont à la tête aujourd’hui.
Geb.