Une image d’actes criminels, encore des soldats impunis dont on fera des films pour les montrer comme des liberateurs. Humour, cela ? Ces populations local sont devenues nos sous-hommes. Ils sont là nos "untermenschen" de 2012. La perfide idéologie des années trente triomphe et rayonne pleinement de nos jours dans nos têtes bien nourries "d’infos". Comment fait on pour sourire sur des scenes de violence camouflé en ’guerre’ avec des commentaires de benets...? Qui crie le plus fort ? Celui devant la porte ou celui derriere la porte ? Je ne peux sourire. Désolé cet humour transcende dans l’abject.