Si c’est au degré de lucidité d’une population (il ne s’agit pas toujours d’un peuple, quoi que proclament ses dirigeants) qu’on situe le camp, impérialiste ou non, duquel elle est solidaire, celle de la France se situe sans aucun doute dans le premier.
Ce qui explique sans doute la remarque de Théophraste R. :
Toutes ces accusations, que reprendront demain nos médias, sont fausses. Les lecteurs de l’Huma et du GS le savent. Les autres l’apprendront plus tard. Trop tard ?
Un cotisant du PCF ne peut d’ailleurs remarquer qu’avec inquiétude l’orientation générale de la politique étrangère de son parti, le plus souvent aligné par anticipation sur ce
que reprendront demain nos médias.
La chronique de Jean Ortiz : « Après la Libye et la Syrie, au tour du Venezuela ? », en est le cache-misère.
Désolé d’avoir à débiner ainsi publiquement mon parti, qui n’est pas à la hauteur.