«  Et vous subissez des pressions ? » avait le culot de demander Pujadas dans le titre d’un livre d’enfumage qu’il a écrit ou en tout cas signé.
Autant demander aux cloches des églises si le Vatican leur ordonne de sonner l’Angélus à la même heure, alors qu’elles ont été programmées pour cela et qu’elles auraient été démontées illico si elles s’étaient avisées de carillonner une seule fois les notes de l’Internationale ou de père Dupanloup.
Etait-il besoin que l’Elysée ordonne à Pujadas de jouer au pitbull avec un syndicaliste de Continental, entreprise dont les salariés on été brisés par un patron toujours plus riche ?
Est-ce que le fermier de La Fontaine rappelait chaque matin à son chien de «  donner la chasse aux gens portants bâtons, et mendiants », de «  flatter ceux du logis, à son Maître complaire », moyennant quoi son salaire lui assurera embonpoint «  sans parler de maintes caresses » ?
Ceux qui n’ont pas les réponses se sont trompés en croyant cliquer sur lefigaro.fr.
Théophraste R. (chien d’aveugles).
PS. On peut remplacer Pujadas par Pernaut, Ferrari, Plantu, etc.
ce n’est pas sympa pour les pitbuls !
En effet, ce n’est qu’un caniche, à qui on dit "aux pieds" et entre dans sa niche, quand on n’a plus besoin de lui.