Je suis tout-à -fait d’accord que mon compte manque de rigueur. Nous sommes pourtant déjà en 2010 et non plus en 2007, alors ce compte- ci ne pêche pas non plus de précision.
Plus sérieusement je n’avais jamais entendu parler de cette idée du dénigrement des brigadistes, peut- être ai- je raté la nouvelle ?
Il est vrai que ce milieu- là est tres fort enraciné au conservatisme ( et en aucun cas dans le liberalisme de Tusk et de sa Platforme civique ou autre, comme il est écrit sous un lien du début ), alors, il peut grouiller des idées sur lesdites interdictions, je ne crois pourtant pas qu’ elles seront de fait bel et bien en vigueur un jour ?
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Mon point sur El Che est assez clair :
,, Si El Che avait été un membre de l’église, il serait sans doute devenu un saint, parce qu’ il avait tous traits d’un saint "- Fidel Castro : ,, Fidel et la réligion. Entretiens avec le frère Betto ".
Vous trouvez donc qu’ El Che était un homme sacré ? Moi aussi !
Pourtant nul n’aurait voulu avoir son proche dans La Cabana de l’époque ? Mais, moi je ne le voudrais pas non plus.
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,, Bon Dieu, protège- nous des amis, contre nos ennemis nous nous débrouillerons nous- mêmes "- dicton polonais.
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Le vidange de la caisse de la République espagnole est malheureusement un fait historique et non romancier ; autrement dit, l’écriture de Hemingway relévait de la réalité historique, on ne peut plus.
La République devait payer cher, très et trop chère une assistance sovietique. ( En examinant un thème de l’autre côté, sans doute ça jouait, ce coup de main-ci, un certain rôle positif, ici je ne m’en moque pas ).
Cela vous par ailleurs fait songer à quelque chose, cette manière d’agir plus ou moins douteuse ? Car, quant à moi, beacoup.
Au discours d’El Che prononcé en février de 1965 en Alger. Son dérnier discours en qualité de haut dirigeant de la révolution cubaine.