Victor Hugo a trop stigmatisé les menteurs, les hypocrites, les faux dévots, pour tolérer le droit d’abuser les peuples en tordant les faits.
De toute évidence, il ne dissociait pas le droit de dire et le devoir de dire vrai.
Par conséquent, il ne m’en voudra pas d’avoir, dans son texte ci-dessous, remplacé « liberté de la presse » par « droit à l’information » et par « information »
Victor Hugo (presque) : « Le principe du droit à l’information n’est pas moins essentiel, n’est pas moins sacré que le principe du suffrage universel. Ce sont les deux côtés du même fait. Ces deux principes s’appellent et se complètent réciproquement. L’information à côté du suffrage universel, c’est la pensée de tous éclairant le gouvernement de tous. Attenter à l’un, c’est attenter à l’autre ».
Merci Totor ! On fait passer à nos journalistes qui font l’opinion dans les médias élyséens et privés (pardon pour le pléonasme possible).
Théophraste.