Bolloré et Cie ou tant qu’il y aura des naïfs et/ou incultes qui continueront à ingurgiter de la malbouffe intellectuelle telle la production des CNews, Europe 1, RFM, Virgin-Radio, Télé-Loisirs, Voici, Femme Actuelle, Capital, Gala, Paris Match, Le Journal du Dimanche, Direct Matin, Canal+, Havas, Vivendi, l’institut de sondage CSA, Dailymotion. Dans l’édition, il détient, via Editis, Nathan, Hachette-Livre, Robert Laffont, Plon, La Découverte, First, Grasset, Stock, Albert René, Larousse, etc.
L’esprit comme le corps a besoin « d’aliments » équilibrés et sain pour pouvoir s’épanouir. Abandonner la malbouffe intellectuelle des Bolloré, Dhahi et autres Dassault, c’est commencer à s’alléger du poids de la « matière ».
Mais la plupart des individus ont-ils la volonté, et même, sont-ils capables de produire cet effort ? Pas sûr !
Etienne de la Boétie dans son « Discours de la servitude volontaire » disait rappelait que : « C’est le peuple qui s’asservit, qui se coupe la gorge, qui, ayant le choix ou d’être serf ou d’être libre, quitte la franchise et prend le joug, qui consent à son mal... », les « Bolloré et Cie » de tous les siècles ne faisant qu’exploiter les faiblesses humaines.
Alors, Vulgus vult decipi, ergo decipiatur, ad vitam aeternam ? Bon, ça ne veut absolument rien dire, comme dirait le roi Loth, mais je trouve que c’est assez dans le ton.
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