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Bolivie : Le gouvernement d’Evo Morales lance l’ industrie de la coca.





Du bon usage de la coca


RFI, 19 juin 2006.


Le gouvernement d’Evo Morales vient de rendre public un ambitieux Programme national de développement pour lutter contre la pauvreté. L’objectif est notamment de créer 90 000 emplois par an au cours des cinq prochaines années. Pour cela, quelque 12,7 milliards de dollars d’investissements publics et privés sont nécessaires dans les secteurs stratégiques du gaz et du fer, mais aussi dans l’agriculture où le président Evo Morales entend revaloriser le commerce licite de la feuille de coca pour détourner les petits producteurs, les « cocaleros », de la filière cocaïne. Il compte pour cela sur les vertus médicinales de coupe-faim et d’anti-fatigue de la reine de l’Altiplano bolivien.

 Lire l’ article : RFI www.rfi.fr



Les USA encaissent un nouveau coup : La Bolivie, Le Venezuela et Cuba signent le Traité de Commerce des Peuples.


L’Amérique latine progressiste passe un test décisif en Bolivie, par Benito Perez.

Bolivie : Une autre cible pour Washington ? par Juana Carrasco Martin.

Bolivie : Révolution dans les Andes, par Richard Gott.


[ La « guerre de l’eau » d’abord, et la « guerre du gaz » maintenant - qui est la vraie raison du conflit - font de la Bolivie un des pays les plus existants au monde. Un pays très moderne et d’avant-garde. Parce que c’est là que se joue la partie entre la mondialisation néo-libérale et la mondialisation des droits et des ressources humaines. ]
La guerre juste d’un pays à l’avant-garde, par Maurizio Matteuzzi.




 Photo : © Claude Dejoux IRD


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Le Capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A 20%, il devient enthousiaste. A 50%, il est téméraire ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines et à 300%, il ne recule devant aucun crime.

Karl Marx, Le Capital, chapitre 22

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