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Bisphénol A : le nouveau tueur silencieux ?

L’ONG française Antidote Europe vient d’envoyer un appel urgent au Professeur Jerzy Buzek, récemment élu à la présidence du Parlement européen, en lui demandant d’agir en faveur de la santé publique. Il y a de plus en plus d’éléments scientifiques suggérant que le bisphénol A, une substance chimique de synthèse, représente un risque sérieux pour la santé, en particulier pour les foetus et les bébés nourris au biberon.

La préoccupation d’Antidote Europe résulte de données spécifiquement humaines, incluant des études faites sur des échantillons de sang et d’urine, ou des effets constatés sur des cellules humaines. Ces données, qui montrent un risque accru de cancer, de diabète, des problèmes de fertilité qui menacent l’avenir de notre espèce, devraient inciter les autorités à plus de discernement face à la confusion entretenue jusqu’à présent par des données animales contradictoires.

Pour plus d’informations sur la campagne d’Antidote Europe, signer la pétition adressée au ministère de la Santé et voir le spot de sensibilisation avec la voix de Barbara Schulz, allez sur : www.danger-bisphenol.com

Antidote Europe est une association à but non lucratif créée par des chercheurs issus du Centre national de la recherche scientifique (CNRS, France) oeuvrant pour une science moderne et responsable.

Contacts médias :

Claude Reiss (33 (0)4 76 36 35 87 -fixe, France-)

André Ménache (44 (0)7906 446889 -portable, Royaume Uni-)

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Éric Laurent. Le scandale des délocalisations.
Bernard GENSANE
Ce livre remarquable est bien la preuve que, pour l’hyperbourgeoisie, la crise n’est pas le problème, c’est la solution. Éric Laurent n’appartient pas à la gauche. Il est parfois complaisant (voir ses livres sur Hassan II ou Konan Bédié). Mais dans le métier, on dit de lui qu’il est un " journaliste d’investigation " , c’est-à -dire … un journaliste. Un vrai. Sa dénonciation des délocalisations, par les patronats étatsunien et français en particulier, est puissamment (…)
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« Si le Président se présente devant le Peuple drapé dans la bannière étoilée, il gagnera... surtout si l’opposition donne l’impression de brandir le drapeau blanc de la défaite. Le peuple américain ne savait même pas où se trouvait l’île de la Grenade - ce n’avait aucune importance. La raison que nous avons avancée pour l’invasion - protéger les citoyens américains se trouvant sur l’île - était complètement bidon. Mais la réaction du peuple Américain a été comme prévue. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce qui se passait, mais ils ont suivi aveuglement le Président et le Drapeau. Ils le font toujours ! ».

Irving Kristol, conseiller présidentiel, en 1986 devant l’American Enterprise Institute

Le 25 octobre 1983, alors que les États-Unis sont encore sous le choc de l’attentat de Beyrouth, Ronald Reagan ordonne l’invasion de la Grenade dans les Caraïbes où le gouvernement de Maurice Bishop a noué des liens avec Cuba. Les États-Unis, qui sont parvenus à faire croire à la communauté internationale que l’île est devenue une base soviétique abritant plus de 200 avions de combat, débarquent sans rencontrer de résistance militaire et installent un protectorat. La manoeuvre permet de redorer le blason de la Maison-Blanche.

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