Merci, cher Théophraste, de lire Le Figaro pour nous.
La première phrase de l’article de ce grand quotidien du matin nous rappelle, si besoin était, que les employés du Figaro, rétribués aujourd’hui par un marchand d’armes, sont viscéralement opposés au peule : les Français "négligent leur santé". Comme au XIXe siècle : les ouvriers alcooliques buvaient par plaisir et les chômeurs étaient des fainéants de naissance. Aujourd’hui, c’est de leur faute s’ils ne se soignent pas !
On vient toujours de quelque part, et c’est le cas du Figaro, journal né sous la réaction de Charles X.