Contrairement à un rêve que j’ai fait l’autre nuit, le fort de Brégançon est, hélas !, à l’abri des tsunamis, d’ailleurs assez rares en fait dans ces coins-là.
Sinon, « La faute à Untel » n’est que la réponse à la question (en bon français) « À qui la faute ? ». Quelqu’un aurait-il déjà lu ou entendu « De qui la faute ? ». En outre, c’est vrai, les personnages de la littérature, de la poésie, de la chanson, du théâtre et du cinéma s’expriment d’une façon qui ne reflète pas systématiquement a priori celle de l’auteur, mais uniquement celle que l’auteur leur attribue.
L. A. (Brassens a-t-il jamais été fossoyeur ?)