Les six chefs de l’armée hondurienne qui avaient donné les ordres pour expulser de force le président légitime Manuel Zelaya dans la nuit du 28 juin 2009 ont été absous de toute charge par le président de la Cour Suprême de Justice hondurienne.
Tandis que dans le même temps le parlement votait l’amnistie pour tous les délits politiques commis depuis début 2009. Les organisations de défense des droits de l’homme sont bien entendus révoltées qu’on amnistie dans le même temps les auteurs et/ou commanditaires des assassinats, enlèvements et tortures que déplore le Honduras depuis le coup d’État.
http://www.primitivi.org/spip.php?article214