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Roselyne Bachelot, tu mens : nous n’avons pas voté Sanofi-Aventis-Pasteur.

Appel à l’insurrection des consciences et à la résistance civile.

Christian Cotten, Politique de Vie, avec la collaboration du journal Morphéus et de l’association Cri-Vie/Marc Vercoutère.

Une vidéo de Christian Cotten sur Daily Motion - 9 mn - 29 septembre 2009

http://www.dailymotion.com/video/xanm0b_roselyne-bachelot-tu-mens-christian_news

Texte ci-dessous.

Roselyne Bachelot !

Oui, toi, citoyenne Roselyne Bachelot, ci-devant ministre de la République. C’est à toi que je m’adresse en ce jour de la Saint-Michel.

Tout comme toi, moi aussi, j’ai servi pendant vingt ans l’industrie pharmaceutique. Mais nous n’y avons pas appris les mêmes choses. Toi, tu y as appris le mensonge. Moi, j’y apprenais l’art du recadrage et de la fessée pédagogique des scientifiques sans éthique.

Roselyne Bachelot, ci-devant ministre de la Santé, tu mens : tu as caché ces dernières années ton véritable parcours professionnel, comme d’autres avant toi s’inventaient de faux diplômes : pendant vingt ans, tu as été visiteuse médicale chargée de relations publiques pour l’industrie pharmaceutique et cela, tu l’as occulté pendant des années.

Roselyne, tu mens : je sais comment travaillent les dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Je sais comment ils organisent le lobbying politique, dans le temps et la patience, pour placer leurs agents au plus haut sommet de l’État. Comme le disait il y a quelques années le professeur Bernard Debré : tu exerçais avant d’être ministre la profession de « visiteuse du diable ».

Roselyne Bachelot, tu mens : tu te prétends ministre chargée de la sauvegarde de la santé des citoyens, alors que tu as mis tes talents de jeune femme de bonne famille au service de l’industrie du poison sur ordonnance. Tout comme la plupart des membres du Comité Technique des Vaccinations ou du Haut Conseil de la Santé : tous déclarent leurs liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Plus des deux tiers sont de fait les obligés de l’industrie.

Cette réalité porte un nom : la corruption des hauts fonctionnaires et des politiques. Les institutions de la République sont aujourd’hui mises au service d’intérêts particuliers par de faux experts, véritables représentants de commerce des industrie des poisons.

Lire la suite.

http://www.politiquedevie.net/Medecines/RoselyneBachelotTuMens3481.htm

Conférence publique de Christian Cotten, avec Frédéric Morin, au festival Nature en Fête à Aigrefeuille-sur-Maine (44) dimanche 4 octobre à 17 h : Et si c’était la plus belle des crises ?

Infos : http://www.humus44.org

Une vidéo de Christian Cotten sur Daily Motion - 9 mn.

http://www.dailymotion.com/video/xanm0b_roselyne-bachelot-tu-mens-christian_news

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Le Grand Marché Transatlantique : La menace sur les peuples d’Europe
Raoul Marc JENNAR
« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. » Ces mots confiés par David Rockefeller au magazine américain Newsweek, le 1 février 1999, fournissent la clé pour comprendre ce qui se passe depuis une trentaine d’années et qu’on appelle « mondialisation néolibérale ». Déléguer au secteur privé la maîtrise des choix ou, pour l’exprimer à la manière pudique de journaux comme Le Monde ou Les Echos, « redéfinir le périmètre de (…)
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Lorsque l’on tente, comme ce fut le cas récemment en France, d’obliger une femme à quitter la Burqa plutôt que de créer les conditions où elle aurait le choix, ce n’est pas une question de libération mais de déshabillage. Cela devient un acte d’humiliation et d’impérialisme culturel. Ce n’est pas une question de Burqa. C’est une question de coercition. Contraindre une femme à quitter une Burqa est autant un acte de coercition que l’obliger à la porter. Considérer le genre sous cet angle, débarrassé de tout contexte social, politique ou économique, c’est le transformer en une question d’identité, une bataille d’accessoires et de costumes. C’est ce qui a permis au gouvernement des Etats-Unis de faire appel à des groupes féministes pour servir de caution morale à l’invasion de l’Afghanistan en 2001. Sous les Talibans, les femmes afghanes étaient (et sont) dans une situation très difficile. Mais larguer des "faucheuses de marguerites" (bombes particulièrement meurtrières) n’allait pas résoudre leurs problèmes.

Arundhati Roy - Capitalism : A Ghost Story (2014), p. 37

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