Quelle triste réalité ! hélas encore un cas non isolé. Je ne pense pas que notre Président de la République accepte ce genre de procédure, mais le Commissaire (ou même le Commandant), d’un Commissariat, y soit pour beaucoup.
Il m’est arrivé une suite d’histoires sordides, sans doute pire que la vôtre, où j’aurais pu y laisser ma vie.
Voilà , un soir de 2007, en rentrant chez moi assez tard dans la nuit, je gare ma voiture sur le parking privé de ma Résidence Privée, je sors de ma voiture et ferme la portière à clé (ma voiture étant un vieux modèle, n’a pas de fermeture automatique), je vais pour me diriger vers l’entrée de mon immeuble lorsque je vois une ombre s’avancer vers moi, un homme de grande taille, j’appelle un ami et je compose aussi le 17, j’avais dans mon sac à main une petite bombe 125 ml que j’avais acheté dans un commerce en vente libre, pour dissuader tout agresseur, cet ami d’origine Tunisienne (d’après ce que m’avait dit sa compagne Paula que j’apprécie aussi), arrive en même temps qu’un fourgon cellulaire de la police nationale. Je dis aux policiers qu’on a failli m’agresser, car l’ombre avait disparu, stupéfaite les policiers m’ont enlevée brutalement le petit aérosol de mes mains, m’ont mis les menottes et m’ont traînée vers le fourgon, j’ai trébuché, perdu une chaussure, je suis tombée, ils m’ont traînée les genoux au sol, une menotte est descendue de mon poignet (car trop petit), j’ai eu l’auriculaire cassé, puis ils m’ont hissée dans leur fourgon, ils étaient 4 et ricanaient, l’un d’eux ressemblait à un skee ned (excusez moi pour l’orthographe), j’ai fait un léger malaise, mais étant diabétique, c’était sans doute une hyperglycémie, l’un des policiers le skee... en rigolant a dit "elle fait un comas éthylique" ; puis arrivés au commissariat, ils m’ont traînée par la cour arrière du bâtiment, j’ai du m’effondrer car ils m’ont emmenée peu après aux urgences du CHRO d’Orléans, j’ai fait de la tackycardie, les policiers attendaient dans le couloir, j’avais les genoux et les orteils qui saignaient, mes mains étaient couvertes d’hématomes, on m’a placé une orthèse sur l’auriculaire de la main gauche, j’avais une arcade sourciliaire enflée ; je pleurais beaucoup, j’ai dit aux policiers qu’ils seraient condamnés et iraient en prison, l’un deux est venue m’insulter et m’a dit "tais toi ou on te remet les menottes", l’Interne est arrivé et l’a fait partir, puis les policiers sont tous repartis après avoir signé le registre de l’hôpital. J’ai eu 8 jours d’ITT.
Je suis un parent isolé (depuis le décès de mon compagnon Erick en 1998, et vis seule avec mon fils étudiant à la Fac de la Source).
Je suis rentrée chez moi avec un taxi, je n’ai rien dit à mon fils sur l’intervention et la cruauté de ces policiers (dont 2 étaient ivres, (leur haleine puait l’alcool), j’ai dit à mon fils que j’étais tombée, mais je n’ai pas montrée mes pieds, les ayant cachés dans des chaussettes.
J’ai déposé plainte auprès de Mme la Procureure de la République, en y joignant les documents des urgences, les photos de mes plaies, j’ai également écrit au Commissaire.
Aucune réponse ne m’a été donnée !!!
J’ai faxé beaucoup de documents et justificatifs sur cet homicide volontaire que j’ai subi par les fonctionnaires de police du Loiret.
Puis un an + plus tard, ce fut le règlement de compte : Janvier 2008, je me rends au commissariat avec une adhérente de l’association où je suis assistante juridique, la personne que j’accompagnais, n’avait pas de véhicule, et devais déposer une plainte pour menaces téléphoniques.
Elle fut reçue par un fonctionnaire, mais elle tremblait comme une feuille et voulait ma présence à ses côtés, me voilà assise avec mon cartable à mes côtés, rempli de documents confidentiels, lorsque un gardien de la paix (gp), d’une trentaine d’années, appelé "Jimmy", de type africain, m’appela par mon nom me demanda gentiment si je voulais lui apporter quelques renseignements sur un dossier, n’ayant pas compris le piège qui m’attendait, je me suis levée j’ai pris mon sac à main, j’ai dit à l’adhérente de garder le cartable et que je revenais.
Un fois dans un bureau où se trouvaient d’autres policiers, le gp dénommé "Jimmy", m’annonça ma 1ère de garde à vue, j’ai cru que j’allais faire un malaise !
Il me cita les faits qui m’étaient reprochés, les insultes que j’avais dites à des fonctionnaires de police, un jour ! sans me dire quand ! (ces mots je les avais dits aux urgences sur mon lit d’hôpital où on me soignait suite à l’agression de ces policiers)......... Mais qu’était devenue ma plainte ? Je dis à ce gp que j’étais assistante juridique, il me ria au nez, tout ce que je lui disais, l’amusait, puis je ne dis plus rien, on m’accompagna dans une cellule, une amie à ce gp : initiales F P, gp aussi, blonde très mince avec un visage ingrat, me fit quitter mes chaussures, etc..........
Je fis appeler un Avocat (une relation de mon association), à qui l’on dit que dans 2 heures je serais chez moi, je pleurais à chaudes larmes, je me demandais pourquoi cette haine envers moi ? cette vengeance policière ? le médecin m’ausculta, ma tension augmentait elle était à 19, j’avais peur de faire un problème cardiaque, dans la cellule je faisais la respiration que j’avais appris en sophrologie, on m’apporta des médicaments pour mon diabète, "qu"ils" avaient achetés avec ma carte vitale, le gp "jimmy" avait de la chance, car en France le diabète est pris en charge à 100 % par la sécu, aux Etats Unis = NON, il faut PAYER.
Mais complètement démoralisée, je ne pus avaler aucun médicament, je me remis à pleurer.
Le gp vint me voir en arborrant un sourire et me dit d’un ton jovial "demain matin vous verrez le psy" ! je lui répondis d’avertir mon fils sur son portable, afin de l’avertir de cette GAV, mon fils qui était en pleins partiels à la Fac, apprit la nouvelle le soir.
Il faisait froid dans cette cellule, elle était sale ("ils" n’appliquaient pas les règles d’hygiène pour lutter contre les maladies nosocomiales ? Je demandais une couverture, réponse ? Il n’y en avait plus ! ce commissariat ne respecte pas la convention des droits de l’homme ? non plus leur propre déontologie ? On peut conclure que certains d’entre eux sont des primitifs ? (humains ou animaux).
Je passais donc la nuit les yeux ouverts, gelés ; dans la matinée on me conduisa chez un psy dans un lieu pavillonnaire spécialisé.
Le psy (gêné mais très professionnel), me posa quelques questions auxquelles je répondis avec facilité, je lui dis que j’étais titulaire du bac G1 et que j’avais fait la 1ère année de DEUG de Droit, qu’à mon age (étant née le 25/04/1952), il était dificile de se recycler, il approuva, on se mit à parler du gouvernement de Nicolas Sarkozy, de son 1er Ministre François FILLON, puis du courage que j’avais eu de surmonter toutes les épreuves de la vie, suite au décès d’Erick, devenue seule avec 2 fils de 17 ans 1/2 et 12 ans, aujourd’hui le grand titulaire d’un DESS informatique et le petit en licence III de langues étrangères.
J’ai senti la gêne du psy tout autant que la mienne, il m’y fin à l’entretien, appela les 2 policiers qui attendaient dans le couloir, il signa le registre de sortie, me serra la main et je partis escortée. En arrivant au commissariat on me rendit mes affaires et je pus m’en aller.
Dès le lundi je me rendis chez mon médecin, lui raconta toute ma mésaventure, je tremblais encore, je dus m’arrêter 8 jours de travailler.
Dès que je pus, je déposais plainte auprès du Procureur, j’envoyais une copie à la hiérarchie à PARIS, j’en informais le + de monde possible, je n’avais plus peur, et ce gp "jimmy" ou "café au lait" comme certains disent, devait être puni !
Je suis presque sûre qu’il s’agit d’un règlement de compte, et que la source serait un commandant de police avec l’aval d’un commissaire (impliqué aussi), car j’ai assisté il y a quelques années à un spectacle que l’on ne devait pas voir, je me suis trouvée là au mauvais moment ; ; ;::::::::: :
Ce ne fut pas tout : après une nuit blanche passée en juin 2008 à cause d’un groupe de jeunes (inconnus de la résidence), qui avaient dansé sur le rap et la techno, et malgré notre demande d’arrêter, une amie et moi sommes allées déposer plte contre ce tapage nocturne. Mon amie est aide soignante en maison de retraite. Nous nous sommes assises sur une chaise de l’accueil du commissariat, STUPEUR ! le GP de ma GAV de JANVIER, fit son apparition et me demanda d’aller l’écouter, je lui répondis "NON", il s’avança vers moi, et se mit à m’insulter tout haut, tout fort, en plein public, me traitant de folle, de mytomane, de je ne sais quel noms d’oiseaux............ il me menaça aussi de faire attention : qu’en cas de nouvelle plainte contre lui .........................
ce gp ne savait pas que Valérie était une amie.
Dans la semaine, je rédigeais une autre plainte avec témoignage écrit + CNI à l’appui et envoyais en RAR au Procureur de la république + aux Sces de Michèle ALLIOT MARIE, Ministre, qui seule, m’a répondue.
Hélas été 2008, j’ai fait un petit AVC, qui s’est traduit par une thrombose rétinienne à l’oeil droit, toujours non guéri à ce jour en dépit de séances de laser effectuées par un grand hôpital spécialisé parisien.
J’ai arrêté toutes permanences hebdomadaires de mon Association en ayant fait une Assemblée avec le bureau et les adhérents, et en leur disant TOUT ce qui m’était arrivé depuis le début (janvier 2007), dans les moindres détails.
La trentaine de personnes présentes a été informée de chaque détail, de toutes les cruautés que j’ai subies de la part des fonctionnaires de police.........
Pour éviter des représailles de ce COMMISSARIAT, des photocopies de procédures, plaintes, photos, enfin de tout ce qu’ils m’ont fait subir, sont classées dans des endroits différents, sont aussi chez des amis, et depuis peu dans ma famille.
Je n’avais rien dit jusque-là , Vous vous rendez compte ? une assistante juridique en GAV !), la Honte pour mes adhérents, mes amis, mes Employeurs Officiers Ministériels, que penseraient tous ces gens-là ? "Elle a du voler ? ou pire elle a tué ? elle a écrasé quelqu’un et a fui ? etc...............
J’ai eu une bonne éducation, je suis née aussi avec le don du courage, je plains ces individus fonctionnaires de l’Etat, j’ai HONTE pour eux, MAIS JE N’AI PLUS PEUR ! je suis trop agée pour être violée, trop démunie pour être volée, alors ?
Ce qui me fait de la peine, c’est d’avoir eu un avc (j’aurais pu mourir à cause du gp coloré), à 56 ans j’ai failli perdre un oeil, cet oeil n’y voit que 1/10 et avec des lunettes. J’espère que je vais guérir.
J’ai pu avoir les noms de ces Officiers de Police, je les ai divulgués autour de moi pour ma sécurité, mon fils qui a maintenant 24 ans est écoeuré de ces bavures et crapuleries, il en a parlé avec ses copains de fac : Lettres et Langues, Sciences, Droit....... ils se retrouvent tous au restaurant Universitaire.
Je vais rendre tout cela PUBLIC, 2 collègues Avocats, informés récemment, me soutiennent.
Mon Association sommeille mais elle est toujours inscrite en préfecture et au JO à PARIS.
Je pense que je suis victime d’un règlement de comptes provenant de certains Officiers de police du commissariat central. Il s’agit d’une vengeance en BANDE ORGANISEE POLICIERE, et judiciaire, car le substitut qui a "ordonné" la GAV, fait partie du clan. J’ai pu obtenir tout le déroulement écrit de cette GAV, le commissaire et le commandant n’auraient pas que des amis dans leur "central".
Je n’ai rien dit à quiconque jusqu’à la nouvelle incartade du gp coloré, j’avais trop honte, mais ma force a repris le dessus, ainsi que le goût de la véritable justice. J’ai entamé plusieurs procédures et je ferais médiatiser cet ensemble de cruauté envers une femme honnorable, seule, qui a élévé ses enfants dignements.
Ma vie a toujours été simple, honnête, courageuse et digne :
– Etant Nîmoise d’origine, j’étais venus vivre avec Erick et mes deux fils David et Olivier à ORLEANS en été 1998, on devait se remarier et acheter une maison, Erick, qui était Artiste Peintre, son pseudonyme était HOBI, gagnait bien sa vie et je n’avais pas besoin de travailler, j’avais démissionné d’un poste d’Assistante de Direction dans le Vaucluse pour vivre avec lui.
Erick est dcd quelques mois après notre installation à ORLEANS, Olivier, mon fils aîné, n’ayant pu s’habituer à la région centre, est redescendu dans le sud et a continué ses études à la Fac de Montpellier, soutenu par son père, mon ex mari Ingénieur Informaticien. David 12 ans, inscrit en Collège qui avait déjà beaucoup de copains m’a demandée si on pouvait rester à Orléans, j’ai accepté, ne voulant pas "chambouler" la scolarité de mon fils. Pour le professionnel ce fut une autre histoire, j’ai du faire des petits boulots, j’ai effectué des CDD intéressants dans deux Etudes Notariales successivement, mais par intérim, puis après un stage informatique en AFPA très enrichissant, j’ai effectué un stage en Entreprise, ce fut une Etude d’Huissiers qui m’accepta durant un mois, et satisfaite de mon stage, l’Huissier de Justice me proposa un poste CDD au sein de l’Etude pour remplacer un Clerc qui était en congés maternité. Il y avait beaucoup de travail dans cette Etude, j’étais bien payée, l’ambiance était chaleureuse, om me confiait des responsabilités, les clés de l’Etude, l’Etude même où je restais seule quelquefois jusqu’à 21 H 00.
Ne voulant m’apitoyer sur mon sort, Erick (mon blondinet comme je l’appelais), me manquait beaucoup, il me manque toujours en 2010 et je ne l’ai pas remplacé ni dans mon coeur ni dans ma vie, une de ses photos prône sur ma commode avec une bougie blanche, j’eus le projet en 2005 de créer une Association loi 1901, d’aide aux victimes, en Octobre 2005, ce fut réalisé, mon fils David devenu majeur, en est le président. Mon association est inscrite en préfecture du Loiret et sur le JO à PARIS. Le Maire de la ville a mis un bureau à notre disposition, contre une rétribution annuelle.
Enfin, je ne suis pas morte, car lorsque je suis retournée au commissariat, plusieurs jours après, récupérer mon cartable professionnel où se trouvaient tous mes documents confidentiels, sur les procédures en cours de différents adhérents, (cartable que le gp coloré "Jimmy" avait dérobé en illégalité), je signais le registre de sortir de mon cartable, lorsque j’ai entendu un policier dire à son collègue qu’un gars en garde à vue, venait de mourir, le policier lui a demandé s’il avait donné ses médicameents ? le policier lui a répondu "oui", le bureaucrate lui a alors dit "appelle le légiste" !
Je suis consciente qu’une GAV peut mal tournée par la FAUTE DE POLICIERS IRRESPONSABLES ET QUI DEVRAIENT CHANGER DE METIER !