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Quand les branches se querellent, les racines s’embrassent

Je sais pas si vous etes plusieur à penser comme moi mais je trouve que la France devient de plus en plus raciste ou nous nous montre sa vrai face.Comme pour le voile quelle excuse bidon ils nous ont trouvés La laicité Il faudrait cessé de se faire embobiner Je vous attends pour debattre Le racisme anti-maghrébin représente à lui seul 64% des 59 actes racistes violents (autres qu’antisémites) en 2003 : 29 actes violents dans l’Hexagone et 30 en Corse. Le cas de la Corse est singulier : l’Ile réussit le tour de force de rassembler plus d’actes racistes violents que le reste de l’Hexagone... ! Le problème du recensement des actes anti-maghrébins est cependant réel, du fait de l’absence de structure communautaire opérationnelle de comptabilisation (comme le CRIF) et de la faiblesse des moyens mis en oeuvre jusqu’à présent sur cette problématique. Pour 93% des jeunes interrogés, le racisme est très ou plutôt répandu en France. Le racisme est surtout anti maghrébin pour 89 % Les attentats du 11 septembre dernier ont renforcé le sentiment anti islamique 71% et le racisme anti maghrébin 61%. Qu’en pensez-vous ? Il régresse, se stabilise ou progresse Le racisme désigne les attitudes, les pratiques et autres facteurs qui nuisent à des personnes en raison de leur race, de la couleur de leur peau ou de leur origine ethnique. Le racisme peut se manifester contre n’importe quelle race, couleur de la peau ou origine ethnique.

Certains exemples de racisme sont évidents comme des graffitis, l’intimidation ou la violence physique. Les insultes et les farces de nature raciale et ethnique en sont d’autres exemples. Malheureusement, il arrive souvent qu’on n’en tienne pas compte, car on ne sait pas trop comment y réagir.

D’autres formes de racisme sont plus subtiles, comme la discrimination dans l’embauche et dans la location d’appartements, ou comme des politiques qui sont défavorables à certaines races, que cet effet soit intentionnel ou non.

Le racisme existe à trois principaux niveaux : individuel, institutionnel et culturel.

Le racisme individuel se reflète dans les attitudes, les croyances, les valeurs et les comportements d’une personne. Les attitudes racistes se manifestent sous la forme de préjugé, de bigoterie, de l’humiliation ou de la jalousie. Comme exemples de croyances racistes, on trouve les stéréotypes, la croyance qu’une race est meilleure qu’une autre et même qu’on peut classer les gens selon la race. La violence, les injures et la discrimination dans l’embauche sont des exemples de comportements racistes. Le racisme institutionnel ou systémique se traduit par des pratiques, des coutumes, des règles ou des normes non essentielles dans les organisations, y compris les gouvernements, qui défavorisent des personnes en raison de leur race, de la couleur de leur peau ou de leur origine ethnique. Cela n’entraîne pas toujours des différences dans la façon de traiter une personne ; un exemple serait les exigences concernant les études qui n’ont aucun rapport avec les fonctions réelles d’un emploi. Le racisme culturel désigne les valeurs et normes culturelles qui nuisent à certaines personnes en raison de leur race, de la couleur de leur peau ou de leur origine ethnique. En voici des exemples : les attentes culturelles concernant la race du président d’entreprise ou les normes culturelles décidant de quoi a l’air une personne digne de confiance, compétente ou considérée comme étant belle.

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L’Affaire Assange, histoire d’une persécution politique
Nils MELZER
L’affaire Assange, c’est l’histoire d’un homme persécuté et maltraité pour avoir révélé les sordides secrets des puissants, notamment les crimes de guerre, la torture et la corruption. C’est l’histoire d’un arbitraire judiciaire délibéré dans des démocraties occidentales qui tiennent par ailleurs à se présenter comme exemplaires en matière de droits de l’homme. C’est l’histoire d’une collusion délibérée des services de renseignement dans le dos des parlements nationaux et du (…)
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« Si le Président se présente devant le Peuple drapé dans la bannière étoilée, il gagnera... surtout si l’opposition donne l’impression de brandir le drapeau blanc de la défaite. Le peuple américain ne savait même pas où se trouvait l’île de la Grenade - ce n’avait aucune importance. La raison que nous avons avancée pour l’invasion - protéger les citoyens américains se trouvant sur l’île - était complètement bidon. Mais la réaction du peuple Américain a été comme prévue. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce qui se passait, mais ils ont suivi aveuglement le Président et le Drapeau. Ils le font toujours ! ».

Irving Kristol, conseiller présidentiel, en 1986 devant l’American Enterprise Institute

Le 25 octobre 1983, alors que les États-Unis sont encore sous le choc de l’attentat de Beyrouth, Ronald Reagan ordonne l’invasion de la Grenade dans les Caraïbes où le gouvernement de Maurice Bishop a noué des liens avec Cuba. Les États-Unis, qui sont parvenus à faire croire à la communauté internationale que l’île est devenue une base soviétique abritant plus de 200 avions de combat, débarquent sans rencontrer de résistance militaire et installent un protectorat. La manoeuvre permet de redorer le blason de la Maison-Blanche.

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