En cette 5ème journée consécutive, les avions de chasse israéliens poursuivent leur bombardement sauvage contre la bande de Gaza. Dernier bilan : plus de 400 martyrs, et plus de 2000 blessés, dont 210 sont dans un état critique. D’après des sources palestinienne plus d’une centaine des victimes sont des enfants de moins de dix ans.
Ce matin, dans la région de Mont al-Rais, l’aviation israélienne a tiré des missiles en direction de la clinique Soubhidirection et a atteind des ambulances, provoquant la mort d’un médecin Mohammad Abou Hasirah, et blessant l’infirmier Oussama Madhoun.
Mais encore, l’aviation israélienne a bombardé un complexe civil dans le quartier de Brazil, dans la ville de Rafah au sud de la bande, provoquant de sérieux dégâts dans un grand nombre de maisons avoisinantes.
Le nord de la bande de Gaza n’a pas été épargné par les raids meurtriers israéliens : deux maisons ont été détruites totalement, l’électricité a été coupée dans la région de Tawam.
Les avions de chasse israéliens ont également tiré une série de missiles contre la région de l’axe de Philadelphie, provoquant de grands dommages dans les maisons avoisinantes.
Dans la ville de Khan-Younés, précisément dans la commune de Absan-la-petite, les avions de chasse israéliens ont bombardé le centre de sécurité des forces de sécurité nationales, le détruisant complètement. En plus de l’aviation israélienne, la marine israélienne a tiré une série d’obus en direction des régions de Maftouha et de Khalyia, prés de la région de Soudaniya.
Du vivant des grands révolutionnaires, les classes d’oppresseurs les récompensent par d’incessantes persécutions ; elles accueillent leur doctrine par la fureur la plus sauvage, par la haine la plus farouche, par les campagnes les plus forcenées de mensonges et de calomnies. Après leur mort, on essaie d’en faire des icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d’entourer leur nom d’une certaine auréole afin de « consoler » les classes opprimées et de les mystifier ; ce faisant, on vide leur doctrine révolutionnaire de son contenu, on l’avilit et on en émousse le tranchant révolutionnaire.
Lénine