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PHILATELIE POPULAIRE consacre son dernier numéro à la philatélie dans les "nouveaux pays socialistes" d’Amérique Latine.

Fidèle à ses orientations populaires, nous nous sommes efforcés de montrer tout l’intérêt que présente la collection de ces pays, qui à la suite de Cuba et du Venezuela, puis de la Bolivie et de l’Equateur, tentent de changer le monde.

Ce numéro est téléchargeable depuis l’adresse :

http://www.philatelie-populaire.com/spip.php?article228

(Il fait 3,8Mo car abondamment illustré)

J’espère que cette lecture vous intéressera. Nous sommes toujours preneurs par les critiques, sans lesquelles nous ne pourrions améliorer ce journal.

L’Union Philatélique Internationale (UPI), qui édite « Philatélie Populaire » a vocation à « favoriser et développer le goût de ce loisir au sein des milieux populaires et en particulier de la jeunesse », comme l’indique ses statuts. Nous sommes ravis de pouvoir aider les
philatélistes à constituer leur collection et à trouver leur voie dans celoisir.

Nous sommes à votre disposition pour tout renseignement, n’hésitez pas à nous contacter.

Au sommaire de ce N°522 :

 Philatélie Bolivarienne

 Qui était Simon Bolivar ?

 Quand la philatélie latino-américaine honore les « méchants » et leurs
crimes !

 La Philatélie vue de Cuba : article de Maria Victoria Valdes Rodda paru dans « Granma International »

 Nouvelles normes d’oblitération et France

 Brèves et potins Philatéliques

 La vie de l’UPI

 Nouveautés d’ici et d’ailleurs

contact redaction@philatelie-populaire.com

URL de cet article 6878
   
Ainsi parle Chávez
Hugo Chávez, figure du Venezuela et de l’Amérique latine contemporaine, si critiqué et diffamé dans la plupart des médias, était indéniablement le président métisse, issu d’une famille pauvre, avec lequel les classes populaires pouvaient s’identifier. Pendant 13 ans, chaque dimanche, il s’est adressé à son peuple dans une émission appelée « Allô président », fréquemment enregistrée sur le terrain et en public. Ce livre recueille certaines de ses allocutions. Tour à tour professeur, (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

L’affaire Julian Assange aurait été réglée en quelques mois si nous avions une presse agressive et indépendante qui aurait mis une claque aux autorités américaines et britanniques pour leur persécution criminelle d’un journaliste qui a révélé des crimes de guerre.

Stefania Maurizi

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