RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Journalisme, comment se nie la réflexion critique

Journalisme, comment se nie la réflexion critique

L’ information transmises par la presse généraliste, la rend communément admissible.

De par son absence d’éventail représentatif de spécificité, moins thématiques qu’analytique, la presse, offre un champ de réflexion et de recherche étroit voir inconfortable.

En cela, le révélateur de l’absence d’interrogations sociologique, est que l’ont peut qualifier de con sensuelle la vision qui nous est offerte de Cuba.

En effet, qu’un chef d’état fasse des discours fleuves, vue de notre fenêtre, c’est comique et qu’en l’absence de journaux indépendants, la presse nationale Cubaine, le lendemain, l’analyse sur quatre pages, sans parler de «  mesa redonda » qui disséquera de ce monologue son aspects politique, philosophique, économique et sociologique, c’est à mourir de rire.

A bien y regarder, est-ce si diffèrent en France par exemple ?

Les discours fleuves sont inutiles, le peuple Français est en sécurité, ne souffre pas d’un blocus empêchant tout développement socio-économique, ni de terrorisme ; il n’a pas besoin d’être rassurer et conforté dans une lutte pour sa souveraineté.

Les intervention du chef de l’état peuvent êtres courtes, laconiques ou agressives, elles seront reprises et analysées dés le lendemain sur quatre pages «  spéciales » ou à la télévision dans une page «  spéciales » consacrées à l’évènement, dans des journaux libres.. .. d’appartenir à des marchands d’armes ou des groupes industriels ou boursiers, dont les Journalistes salariés peuvent LIBREMENT choisir de ne pas enquêter sur Dassault industrie, Vivendi Universal ou le nuage de Tchernobyle qui contourna nos frontières ou bien encore sur Reporter Sans Frontières.

Ce sont donc ces journalistes Libres, d’une presse Libre, qui juge sans malhonnêteté intellectuelle de la liberté d’expression dans la perle des caraïbes.
 

 
«  comme j’avais hâte de commencer la réparation de mon moteur, je griffonnais une caisse et lançait : Tien voici la caisse, ton mouton est dedans ! Et quel ne fut pas mas surprise de l’entendre s’écrier : C’est tout a fait comme ça que je le voyait ! »

Le petit prince. A. St Exupéry

URL de cet article 6444
   
Les caisses noires du patronat
Gérard FILOCHE
A quoi servent les 600 millions d’euros des caisses noires du patronat, et où vont les 2 millions d’euros distribués chaque année en liquide par l’UIMM et le Medef ? Gérard Filoche dénonce ce scandale du siècle au coeur du patronat français. Il soulève toutes les questions posées par ce trafic d’argent liquide qui circule depuis si longtemps au Medef et montre comment le patronat se servait de cette caisse anti-grève pour briser la fameuse concurrence libre et non faussée. Denis (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Avant, il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Et au lieu d’appeler la tomate de merde “tomate de merde”, ils l’ont appelée “tomate”, tandis que la tomate, celle qui avait un goût de tomate et qui était cultivée en tant que telle, est devenue “tomate bio”. À partir de là, c’était foutu. »

Inconnu

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.