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Le Printemps des expulsions ?

Le 15 mars, fin de la trêve hivernale. Environ 100 000 jugements
d’expulsions sont prononcés cette année. Dans les faits 300 000
personnes, parmi les familles les plus socialement fragiles ne peuvent
se reloger dans des conditions humainement acceptables (caravanes,
bidonvilles, squat, sdf,...).

Tandis que le gouvernement détruit des logements sociaux, la spéculation
immobilière met le logement décent hors d’atteinte des précaires, des
chômeurs dont les faméliques allocations viennent encore d’être amputées
(protocole Unedic du 20 décembre 2002, imposé par le Medef, et ses
alliés syndicaux).

De plus, le travail forcé est au programme du Medef gouvernemental sous
la forme hypocrite et coercitive du RMA (revenu minimum d’activité).
Sans logis, sans emploi, sans revenu n ’observons-nous un retour
progressif vers le vagabondage institutionnalisé, le servage "humanisé".

Contre l’insécurité sociale, pour nos droits : un toit, un revenu !

Manifestation samedi 15 mars, 14 h, M° République.

Nous rejoindrons le même jour la manifestation anti-guerre (Irak).
Les dépenses militaires vont justifier, une intensification du contrôle
social, une aggravation de la misère et de la précarité.

A l’appel du DAL, d’AC !, du réseau "No vox", de nombreuses associations.

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La Nuit de Tlatelolco, histoires orales d’un massacre d’Etat.
Elena Poniatowska
« Pour le Mexique, 1968 se résume à un seul nom, à une seule date : Tlatelolco, 2 octobre. » Elena Poniatowska Alors que le monde pliait sous la fronde d’une jeunesse rebelle, le Mexique aussi connaissait un imposant mouvement étudiant. Dix jours avant le début des Jeux olympiques de Mexico, sous les yeux de la presse internationale, l’armée assassina plusieurs centaines de manifestants. Cette histoire sociale est racontée oralement par celles et ceux qui avaient l’espoir de changer le (…)
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« La politique étrangère américaine est ignoble car non seulement les États-Unis viennent dans votre pays et tuent tous vos proches, mais ce qui est pire, je trouve, c’est qu’ils reviennent vingt ans plus tard et font un film pour montrer que tuer vos proches a rendu leurs soldats tristes. »

Frankie Boyle, humoriste écossais

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