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L’US Army et Tsahal forment l’armée colombienne à la torture.








Réseau Voltaire, 8 septembre 2007.


Les forces armées colombiennes sont assistées de conseillers militaires israéliens et états-uniens pour réprimer la rébellion marxiste-léniniste des FARC a indiqué Juan Manuel Santos, ministre de la Défense, au quotidien Semana [1]. Il s’agit principalement de la sous-traitance et de la formation aux « techniques spéciales d’interrogatoires », c’est-à -dire à la torture.

Ce contrat a été négocié par l’ancien ministre travailliste israélien Shlomo Ben Ami, actuel vice-président du Centre international de Tolède pour la paix (CIT Pax), un think tank qui prétend aider à la résolution des conflits en Colombie.

Dans les années 60, le Pentagone avait créé deux écoles de torture, l’une à Taiwan (Political Warfare Cadres Academy), l’autre à Panama (School of Americas), rendue célébre par le film de Constantin Costa-Gavras, État de siège. Fermées par le président Clinton, ces institutions ont été reconstituées par l’US Army à Bagram (Afghanistan) et Guantanamo (Cuba). Outre des cours sur place, elles proposent maintenant des assistances à l’étranger en partenariat avec des officiers israéliens ayant développé leur savoir-faire en Palestine occupée.

 Source : Réseau Voltaire www.voltairenet.org




Colombie - Les Insurgés colombiens prêts au dialogue, par Numancia Martà­nez Poggi.






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Rêves de droite : Défaire l’imaginaire sarkozyste
Mona CHOLLET
« Elle, je l’adore. D’abord, elle me rassure : elle ne dit jamais "nous", mais "moi". » Gilles Martin-Chauffier, « Fichez la paix à Paris Hilton », Paris-Match, 19 juillet 2007. En 2000, aux États-Unis, un sondage commandé par Time Magazine et CNN avait révélé que, lorsqu’on demandait aux gens s’ils pensaient faire partie du 1 % des Américains les plus riches, 19 % répondaient affirmativement, tandis que 20 % estimaient que ça ne saurait tarder. L’éditorialiste David (…)
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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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