RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Philippe Val, propagateur de calomnies et docteur ès déontologie, Henri Maler et Mathias Reymond.








Acrimed, mardi 10 avril 2007.


Omniprésent dans les grands médias (pour vendre son journal, son livre, son CD, ses concerts, ses idées...) [1], Philippe Val n’a plus le temps de s’informer avant d’écrire... Mais il n’en a pas besoin pour infliger des leçons de journalisme et multiplier mensonges et calomnies. Ses dernières victimes en date ? L’extrême gauche et Noam Chomsky. (...)

La scène se passe le 7 mars 2007, lors de l’émission « Impertinences » , animée par le très pertinent Bruno Masure, sur « La Chaîne Parlementaire » (LCP-AN). Question impertinente et pertinente du jour : « La télé vote-t-elle à notre place ? » avec comme invités le surprenant Pierre-Luc Séguillon et l’inattendu Philippe Val . Extraits des propos de ce dernier [5] :

Philippe Val : « Il y a quelque chose qui devrait nous faire réfléchir, c’est que vous parliez du référendum européen où le non l’a emporté alors que les médias majoritairement étaient pour lui et d’ailleurs, moi-même à Charlie, j’ai défendu autant que j’ai pu le oui, mais ce qui nous a fait perdre on pourrait dire c’est Internet. Et, les gens font confiance à Internet alors que rien n’y est contrôlé, c’est le domaine de la paranoïa et du complotisme et il n’y a pas d’éthique comme il peut y en avoir dans une rédaction quelle qu’elle soit pratiquement en France. Et bien pourtant, c’est ça à quoi les gens ont adhéré plus facilement encore. [...] »

Passons sur l’explication de la victoire du « non » par le rôle pervers d’Internet : toutes les bêtises ne doivent pas être commentées. Et retenons la phrase soulignée. Sa densité est telle que Philippe Val éprouve le besoin de la préciser quelques temps après : « Je pense qu’il y a du souci à se faire, si c’est le cas [si Internet se substitue aux médias classique] parce que la presse est régie par des lois quand même et Internet c’est la jungle. C’est la jungle où le mensonge le plus hallucinant n’est sanctionné par pratiquement rien ... » [6] Mais ceux de Val dans « la presse » ne le sont apparemment pas non plus... (...)

- Lire l’ article www.acrimed.org/article2596.html




Médias et sondages : la manipulation de l’opinion publique, par La Riposte.






URL de cet article 4942
   
La Nuit de Tlatelolco, histoires orales d’un massacre d’Etat.
Elena Poniatowska
« Pour le Mexique, 1968 se résume à un seul nom, à une seule date : Tlatelolco, 2 octobre. » Elena Poniatowska Alors que le monde pliait sous la fronde d’une jeunesse rebelle, le Mexique aussi connaissait un imposant mouvement étudiant. Dix jours avant le début des Jeux olympiques de Mexico, sous les yeux de la presse internationale, l’armée assassina plusieurs centaines de manifestants. Cette histoire sociale est racontée oralement par celles et ceux qui avaient l’espoir de changer le (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

"De toutes les ironies exprimées par la politique étrangère américaine, notre position vis-à -vis de Cuba est la plus paradoxale. Une forte dégradation de la situation économique a provoqué une poussée du nombre de Cubains entrant illégalement aux Etats-Unis.

Nous faisons tout ce que nous pouvons pour détériorer la situation économique et ainsi accroître le flux. Nous encourageons également cet exode en accordant aux Cubains, qui arrivent illégalement ou qui s’approchent par voie de mer, un statut de résident et une assistance pour s’installer.

Dans le même temps, nous n’avons pas respecté les quotas de visas pour les Cubains désireux d’immigrer aux Etats-Unis [...] quand Castro tente d’empêcher des cubains malheureux de quitter leur pays infortuné, nous l’accusons de violer des droits de l’homme. Mais quand il menace d’ouvrir grand les portes si nous continuons à accueillir sans limites des cubains sans visas - y compris ceux qui ont commis des actes de violence pour aboutir à leurs fins - nous brandissons des menaces imprécises mais aux conséquences terribles. "

Jay Taylor, responsable de la section des intérêts américains à Cuba entre 1987 et 1990, in "Playing into Castro’s hands", the Guardian, Londres, 9 août 1994.

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.