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Sur France Inter, « on ne vous cache rien » (?), mais on justifie tout.








Acrimed, mardi 13 mars 2007.


Les 11 janvier, 8 février et 8 mars 2007, sur France Inter, trois livraisons de l’émission « Service public » [1] ont pris pour titre : « On ne vous cache rien ». Leur objet ? Selon le site de la station : « Le traitement de la campagne présidentielle sur France Inter en général et le respect du pluralisme et de l’équité en particulier ». Echantillons, extraits des deux premières émissions consacrées à la défense d’une tour d’ivoire [2].

Tout avait bien commencé. L’introduction du duo de présentateurs, au début de la première émission, pouvait sembler prometteur : «  France Inter n’est plus seulement différente, mais donc ce matin : transparente », pérore Yves Decaens. « La transparence est le maître-mot aujourd’hui, rétorque Isabelle Giordano, (...) on va demander [aux journalistes de France Inter] de rendre des comptes et les soumettre à la baïonnette de vos questions. » Patrice Bertin, directeur de la rédaction, en remet une couche : « c’est une initiative à peu près sans précédent. (...) Un acte de démocratie médiatique, avez-vous dit. Le thème c’est : on ne vous cache rien. On n’a rien à cacher. Donc on va jouer cartes sur table. »

Les auditeurs ont raison, mais ils se trompent

- Lire l’ article : www.acrimed.org




France : Intoxication immobilière, La bulle immobilière, mars 2007.






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L’Avatar du journaliste - Michel Diard
Michel Diard
Que restera-t-il du quinquennat de Nicolas Sarkozy, le président omniprésent dans tous les médias ? Cet ouvrage dresse un inventaire sans concession des faits et méfaits de celui qui se présentait comme l’ami de tous les patrons de presse et a fini par nommer les présidents des chaînes de l’audiovisuel public. Le "sarkozysme" a largement reposé sur un système de communication proche de la propagande, digne des régimes les plus autocratiques, à la limite de l’autoritarisme. Le système (…)
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Du vivant des grands révolutionnaires, les classes d’oppresseurs les récompensent par d’incessantes persécutions ; elles accueillent leur doctrine par la fureur la plus sauvage, par la haine la plus farouche, par les campagnes les plus forcenées de mensonges et de calomnies. Après leur mort, on essaie d’en faire des icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d’entourer leur nom d’une certaine auréole afin de « consoler » les classes opprimées et de les mystifier ; ce faisant, on vide leur doctrine révolutionnaire de son contenu, on l’avilit et on en émousse le tranchant révolutionnaire.

Lénine

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