RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

LA CFDT attaque les précaires sur tous les fronts : après l’UNEDIC, la justice, AC !








AC !, vendredi 2 mars 2007.


La CFDT, un syndicat de combat ... contre les précaires : non contente de détruire leurs droits à l’assurance chômage, la confédération porte plainte contre des chômeurs ! (...)


Plusieurs précaires d’AC ! sont convoqués à la DRPJ (direction régionale de la police judiciaire) chargée de la répression des infractions à la personne, certains plusieurs fois de suite. A l’origine de ces convocations, une commission rogatoire déclenchée par une plainte de la CFDT et de François Chérèque.

Le motif ? Sur la commission rogatoire figurent les injures, la diffamation publique, les dégradations, les provocations à commettre des infractions dangereuses pour les personnes.

La réalité ? A l’automne 2005, une nouvelle négociation s’engage à l’Unedic, entre les syndicats dits représentatifs et le MEDEF. Dans un contexte où moins d’un chômeur sur deux est indemnisé par les ASSEDIC, où les travailleurs précaires qui ont besoin d’un complément ASSEDIC pour survivre voient leurs droits sans cesse revus à la baisse, où l’UNEDIC utilise les cotisations sociales pour engraisser les multinationales du placement, plusieurs collectifs de chômeurs et précaires décident de réagir et lancent pendant toute la durée de la négociation un rendez vous hebdomadaire devant le siège de la CFDT. (...)

- Lire l’ article www.ac.eu.org




Vaincre Sarkozy, maintenant, par Abéles, Balibar, Castel, Chemillier-Gendreau, ...






URL de cet article 4803
   
La Nuit de Tlatelolco, histoires orales d’un massacre d’Etat.
Elena Poniatowska
« Pour le Mexique, 1968 se résume à un seul nom, à une seule date : Tlatelolco, 2 octobre. » Elena Poniatowska Alors que le monde pliait sous la fronde d’une jeunesse rebelle, le Mexique aussi connaissait un imposant mouvement étudiant. Dix jours avant le début des Jeux olympiques de Mexico, sous les yeux de la presse internationale, l’armée assassina plusieurs centaines de manifestants. Cette histoire sociale est racontée oralement par celles et ceux qui avaient l’espoir de changer le (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.