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Liban : les forces spéciales de Samir Geagea sont de retour, par Nidal.





Loubnan ya Loubnan, 28 novembre 2006.


Une expression libanaise dit : « Il le tue, puis il marche à ses funérailles. »

Évidemment, les médias occidentaux ont trouvé la manifestation pour les funérailles de Pierre Amine Gemayel beaucoup plus belle que les manifestations de l’opposition. L’AFP décrivait ainsi l’événement :

Une foule énorme, sous une marée de drapeaux libanais rouges et blancs frappés du Cèdre vert, s’est rassemblée sur la grande Place des Martyrs, dans le centre de la capitale, tout près de la cathédrale Saint-Georges des Maronites où a été célébrée la cérémonie des obsèques.

Vincent Hervouët, sur LCI, opposait cette manifestation à celles du Hezbollah, dont la foule serait politiquement orientée.

Pourtant, les photos de l’événement montrent tout autre chose : des drapeaux des Phalanges, des drapeaux des Forces libanaises, et des drapeaux libanais. Sur certaines photos, on peine même à repérer les drapeaux libanais.

Il faudrait expliquer à Vincent Hervouët et au rédacteur de l’AFP que le drapeau blanc avec un cèdre ceinturé d’un cercle rouge est le drapeau des Forces libanaises du bon docteur Geagea. Quand à celui qui orne le cercueil, un cèdre stylisé en triangle, il s’agit de celui des Phalanges. (...)

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Liban - La Syrie, un bouc émissaire commode pour la mort de Gémayel, par Jonathan Cook.

La saga des Gemayel : la Phalange, par Stefano Chiarini.




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Laurent Mauduit. Les Imposteurs de l’économie.
Bernard GENSANE
Serge Halimi expliquait autrefois pourquoi il ne voulait jamais débattre avec un antagoniste ne partageant pas ses opinions en matière d’économie : dans la mesure où la doxa du capitalisme financier était aussi « évidente » que 2 et 2 font quatre ou que l’eau est mouillée, un débatteur voulant affirmer un point de vue contraire devait consacrer la moitié de ses explications à ramer contre le courant. Laurent Mauduit a vu le « quotidien de référence » Le Monde se colombaniser et (…)
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« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

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