Le Monde Diplomatique, Août 2006.
La chute du communisme a provoqué un grand nombre de dommages collatéraux, en particulier sur la façon de penser de la gauche. Tant qu’il existait, le communisme forçait ses partisans comme ses adversaires à réfléchir politiquement, c’est-à -dire à proposer des programmes à court et à long terme, à fixer des priorités et à évaluer les rapports de force.
– Lire la suite : www.monde-diplomatique.fr
A lire aussi de Jean Bricmont :
[Pour illustrer ce qui est erroné dans la tendance dominante, commençons par le slogan « ni-ni » : maintenant que Milosevic est à La Haye, les Talibans et Saddam Hussein renversés, les partisans de ce slogan peuvent-ils expliquer comment ils comptent se débarrasser de l’autre partie du « ni », Bush ou l’OTAN ?]
L’espoir change-t-il de camp ? par Jean Bricmont.