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Tuer des journalistes est une vieille tradition israélienne

Comment Jacques-Marie Bourget a survécu à la balle du sniper israélien

L’importance du timing en politique :
 Jacques-Marie Bourget, alors en reportage à Ramallah pour Paris-Match, se lève au moment précis où la balle du sniper de l’armée d’Israël devait percer son coeur. C’est un poumon qui est touché.

Bien plus tard, l’imitateur Donald Trump tourne la tête au moment précis où une balle devait percer son crâne. C’est son oreille qui est touchée.

La différence, c’est que le bobo de Trump a été soigné aussitôt alors que, vous allez voir, les autorités israéliennes ont tout essayé pour que Bourget crève sur place. Il a fallu une intervention énergique du président français, Jacques Chirac, pour que la victime puisse être rapatriée en France et y soit soignée.

Et voici pourquoi Jacques-Marie Bourget a pu donner 160 articles au Grand Soir.
Qu’il en soit remercié.

Dans l’interview ci-dessous (16 minutes) accordée à Al Jazeera les questions sont en langue arabe.
Mais Jacques-Marie Bourget s’exprime en français.

LGS

URL de cet article 40005
 
Le « populisme du FN » un dangereux contresens, d’Annie Collovald et Guerre aux chômeurs ou guerre au chômage, d’Emmanuel Pierru
DIVERS
Récemment apparues, les éditions du Croquant, issues d’une dissidence des héritiers de Pierre Bourdieu, publient des ouvrages riches, au coeur des problèmes sociaux actuels et offrant un regard juste et pertinent. Deux d’entre eux ont particulièrement retenu notre attention : Le « populisme du FN » un dangereux contresens A travers cet ouvrage, Annie Collovald a voulu déconstruire et remettre en cause le terme de « populisme » qui sert aujourd’hui d’explication au succès électoral du (…)
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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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