RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Bolivie : Le gouvernement d’Evo Morales lance l’ industrie de la coca.





Du bon usage de la coca


RFI, 19 juin 2006.


Le gouvernement d’Evo Morales vient de rendre public un ambitieux Programme national de développement pour lutter contre la pauvreté. L’objectif est notamment de créer 90 000 emplois par an au cours des cinq prochaines années. Pour cela, quelque 12,7 milliards de dollars d’investissements publics et privés sont nécessaires dans les secteurs stratégiques du gaz et du fer, mais aussi dans l’agriculture où le président Evo Morales entend revaloriser le commerce licite de la feuille de coca pour détourner les petits producteurs, les « cocaleros », de la filière cocaïne. Il compte pour cela sur les vertus médicinales de coupe-faim et d’anti-fatigue de la reine de l’Altiplano bolivien.

 Lire l’ article : RFI www.rfi.fr



Les USA encaissent un nouveau coup : La Bolivie, Le Venezuela et Cuba signent le Traité de Commerce des Peuples.


L’Amérique latine progressiste passe un test décisif en Bolivie, par Benito Perez.

Bolivie : Une autre cible pour Washington ? par Juana Carrasco Martin.

Bolivie : Révolution dans les Andes, par Richard Gott.


[ La « guerre de l’eau » d’abord, et la « guerre du gaz » maintenant - qui est la vraie raison du conflit - font de la Bolivie un des pays les plus existants au monde. Un pays très moderne et d’avant-garde. Parce que c’est là que se joue la partie entre la mondialisation néo-libérale et la mondialisation des droits et des ressources humaines. ]
La guerre juste d’un pays à l’avant-garde, par Maurizio Matteuzzi.




 Photo : © Claude Dejoux IRD


URL de cet article 3786
   
Viêt Nam, voyages d’après-guerres
André BOUNY
Nul mieux qu’un écrivain ne peut faire découvrir un pays. Que saurions-nous de l’Écosse sans Boswell et Johnson et comment nous représenterions-nous la magnificence de l’Orient au XVIe siècle sans les Pérégrinations de Fernaõ Mendes Pinto ? André Bouny s’inscrit dans cette lignée de voyageurs. Sa plume trace avec précision ce que tous les sens perçoivent du Viêt Nam traversé. Elle le fait doublement en accompagnant son texte de ses prodigieux dessins à la mine de plomb qui emmènent le (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

La contribution la plus importante d’Obama a été d’embellir, de vendre à l’opinion publique et de prolonger les guerres, et non de les terminer. Ils l’ont bien vu pour ce que sont réellement les présidents américains : des instruments permettant de créer une marque et une image du rôle des États-Unis dans le monde qui puissent être efficacement colportées à la fois auprès de la population américaine et sur la scène internationale, et plus précisément de prétendre que les guerres barbares sans fin des États-Unis sont en réalité des projets humanitaires conçus avec bienveillance pour aider les gens - le prétexte utilisé pour justifier chaque guerre par chaque pays de l’histoire.

Glenn Greenwald

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.