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Drapeaux blancs contre la guerre ?

une idée simple, peut-être simpliste, mais pourquoi ne pas essayer ?

Face aux préparatifs de guerre massive de la part du gouvernement des
Etats-Unis contre l’Irak, il est urgent de signaler mondialement notre
protestation contre cette guerre.

A partir du 15 novembre et jusqu’a la fin de année, nous pouvons signaler
notre NON à cette guerre par des tissus blancs fixés aux fenêtres de
nos appartements dans tous nos villes et villages, dans tous les pays du
monde.

Cette action facile à réaliser n’a pas de centre et ne relève d’aucun parti
politique. Elle devrait montrer le désaccord profond de la plus grande
partie de humanité
avec cette guerre.

Pour une propagation mondiale, envoyez ce texte à tous vos amis et
connaissances. Et accrochez à vos fenêtres, à partir du 15 novembre, un
tissu blanc signe de la
protestation contre la guerre.

Hervé BOULET

IRA - Institut de Régulation et d’Automation
Chemin des Moines, 13200 ARLES

Tél : 04 90 99 47 28 Fax : 04 90 93 03 15

e-mail : hboulet.ira@arles.cci.fr

adresse internet : http://www.poleira.com

cette idée n’est évidemment pas une marque déposée. La rédaction a déjà reçu d’ores et déjà deux courriers qui rappellent les faits :

 Cette idée (c’est-à -dire témoigner une idée en
montrant une drap blanc à la fenetre) en Italie a été utilisée contre la
mafia il y a plusieurs années.

L’association Emergency www.emergency.it (c’est quelque chose style médecins
sans frontières) a lancé cette idée il y a deux mois, plus ou moins.
Donc, qui a repris cette idée (sans le savoir ou en le savant, n’importe)
c’est très très bien.

En Italie beaucoup de gens utilisent aussi un petit chiffon lié au sac ou
sur l’antenne radio de la voiture.

  Cette proposition ne vient pas de moi mais m’a été transmise par
cpagnoulle@ulg.ac.be
qui travaille avec nous (ATTAC)
elle l’avait reçu de...qui l’avait...
Longue route à cette idée


URL de cet article 378
   
Frédéric Rousseau. L’Enfant juif de Varsovie. Histoire d’une photographie.
Bernard GENSANE
Paris, Le Seuil, 2009 Nous connaissons tous la photo de ce jeune garçon juif, les mains en l’air, terrorisé parce qu’un soldat allemand pointe sur lui un fusil-mitrailleur. En compagnie de sa mère, qui se retourne par crainte de recevoir une salve de balles dans le dos, et d’un groupe d’enfants et d’adultes, il sort d’un immeuble du ghetto de Varsovie. A noter que ce que l’enfant voit devant lui est peut-être plus terrorisant que ce qui le menace derrière lui. Au fil d’un travail très (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Avant, il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Et au lieu d’appeler la tomate de merde “tomate de merde”, ils l’ont appelée “tomate”, tandis que la tomate, celle qui avait un goût de tomate et qui était cultivée en tant que telle, est devenue “tomate bio”. À partir de là, c’était foutu. »

Inconnu

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