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COVID-19 : "la maladie des riches » ? :

La Chine a été contaminée par le banquet géant de 40000 notables du parti à Wuhan, en janvier 2020 :

Le 18 janvier 2020, le gouvernement local de Wuhan a organisé un dîner pour le Nouvel an avec plusieurs dizaines de milliers de participants – deux jours plus tard, on a appris que le virus pouvait se transmettre entre les personnes.

http://www.mondialisme.org/IMG/pdf/corona_chine.pdf

L’Europe a été contaminée à partir de stations de ski huppées (France Contamine, deux en Autriche) fréquentées par l’élite mondialisée de retour d’Asie, de bars de supporters de match de foot (Milan - Bergamo - Valence (Espagne), d’assemblées évangéliques (Mulhouse), de migrations paniques de la classe moyenne supérieure (replis sur des résidences secondaires - ouest de la France, sud et centre de l’Italie).

Le constat des favelas du Brésil

Les habitants de Favela ont appelé COVID-19 : "la maladie des riches", due principalement au fait que les Brésiliens plus riches revenant d’Europe ont apporté le virus.

https://www.zerohedge.com/markets/rios-favela-gangs-impose-strict-curf...

Ici l’élite subit la situation comme vous , mais elle va chercher à la retourner à son profit. Elle a déjà commencé avec à la tête du pays le nouveau Monsieur Thiers : Macron.

Elle ne contrôle rien sur le plan des évènements mais elle contrôle les réponses aux évènements et c’est là ou elles vous baisent.

Elle élabore des réponses qui vous font supporter le maximum de coûts et de souffrances et si possible les enrichit encore plus.

https://brunobertez.com/2020/03/25/question-de-jean-pourquoi-les-elite...

Depuis mars, le confinement bidon n’a pas épargné les populations les plus vulnérables, les vieux (Mulhouse,Strasbourg,Ile de France) Italie, Espagne.

En Espagne, l’inconnue des ravages du Covid-19 dans les maisons de retraite

El País, rapporté par Courrier international - 22 mars 2020

https://www.courrierinternational.com/article/pandemie-en-espagne-linc...

MADRID - Au moins 25 morts à la résidence Monte Hermoso, 13 dans les résidences Santísima Virgen y San Caledonio, 9 à la résidence Albertia Moratalaz. Les maisons de retraite madrilènes paient un lourd tribut au nouveau coronavirus. Au moins 72 d’entre elles ont été contaminées, selon El País, qui observe qu’on ne connaîtra peut-être jamais la réalité des ravages causés par la pandémie dans ces établissements en Espagne, où l’épidémie avait déjà fait plus de 1 700 morts dimanche 22 mars : « La région autonome de Madrid comptait 804 décès dus au coronavirus samedi 21 mars, mais ce décompte est insuffisant. Dans les maisons de retraite touchées par l’épidémie, des dizaines de personnes âgées meurent sans avoir été testées. Dans de nombreux cas, leurs décès sont enregistrés comme ayant d’autres causes, telles que la pneumonie. »

Alors que le gouvernement espagnol a annoncé ce 22 mars la prolongation de l’état d’urgence pour 15 jours, le quotidien estime que, dans la région de Madrid, plus de 100 personnes sont mortes “avec des symptômes ou un diagnostic” de Covid-19 dans les résidences pour personnes âgées touchées par l’épidémie. Un décompte basé, faute de statistiques officielles, “sur les plaintes des travailleurs, des familles et, dans certains cas, sur les informations rapportées par les résidences elles-mêmes”.

Selon El País, qui cite les organisations syndicales et des proches de victimes du Covid-19, “les données fournies par les résidences privées ne seront pas crédibles”. Depuis plusieurs jours, les syndicats reçoivent des alertes de leurs délégués dans des établissements pour personnes âgées, et des familles ont également signalé au quotidien des décès multiples “qui n’ont pas été signalés par certaines résidences”. Cette opacité “retarde l’action urgente des autorités, alors que le virus continue à tuer”. À Madrid, la résidence Monte Hermoso a caché aux autorités l’étendue de l’épidémie et fait l’objet “d’une enquête du parquet”, souligne El País. Outre les 25 morts recensés dans l’établissement, au moins 75 personnes ont été détectées porteuses du nouveau coronavirus parmi les résidents et les employés.

Un début de réponse en Italie :

Paralysie des activités en Lombardie dans le Latium

Italie. Faire grève pour pas mourir

Plus de 7500 morts au 25 mars, dont 683 pour la seule journée de mercredi. Pourtant, il faut continuer à aller travailler, y compris dans un certain nombre d’entreprises absolument non essentielles à la lutte contre le Covid-19. C’est donc sur fond de grosse colère sociale et de luttes du côté des directions syndicales qu’une partie de l’Italie est entrée en grève, mercredi 25 mars, pour dire que la santé des travailleurs et la lutte contre le Coronavirus passe avant les profits. Une belle leçon, également, pour les travailleurs et les travailleuses des autres pays européens.

Négociations syndicats-gouvernement et grève du 25 mars

C’est dans ce cadre que les directions syndicales n’ont pas eu d’autres choix que de donner de la voix et de taper du poing sur la table, poussées par la pression à la base. Mis au pied du mur, de son côté également, le gouvernement a reculé au cours de la journée de mercredi, avec des concessions faites en direction de la CGIL, de la CISL et de la UIL, autour d’une nouvelle reconfiguration des activités dites non-essentielles et le retour de l’accord syndical local (RSU) pour l’ouverture, ou non, d’un site ou d’une entreprise. Les syndicats qui, un temps, avaient menacé de lancer un mouvement de grève, se disent absolument satisfaits. Un nouveau décret devrait, par conséquent, être signé par l’exécutif, indiquant combien, en dépit de ses allures présidentialistes, Conte reste sous pression, y compris de la part de forces sociales opposées [2].

Il est possible, cependant qu’une version bis du décret (étendant à nouveau le nombre de secteurs d’activité pouvant s’arrêter jusqu’au 3 avril), ne soit pas suffisante pour calmer la colère des travailleurs et des travailleuses, inquiets pour leur santé et celle de leurs proches et vent-debout contre un patronat qui continue à vouloir engranger, coûte-que-coûte, des profits, et faire tourner ses usines [3].

En effet, en plus de la grève nationale lancée pour le 25 mars par l’USB, l’un des « syndicats de base » en Italie, ce sont les métallos FIOM-FIM-UILM de Lombardie et du Latium qui ont maintenu l’appel à la grève agité un moment par les confédérations puis retiré, in extremis, quand le gouvernement a ouvert la porte des négociations. Les taux d’adhésion de la grève du 25, qui a très fortement paralysé l’économie dans les deux régions, sont allés de 60 à 90%, comme, dans la Brianza, avec 70% de participation. D’autres secteurs ont également débrayé, comme l’industrie du papier, le textile ou la chimie, alors que des appels à la grève pour les jours à venir ont été lancés, comme dans la grande distribution, en Ligurie, dans le Molise et dans les Abruzzes. Dans tous ces cas, les appels sont couverts ou lancés par les fédérations de branche de la CGIL, de la CISL et de la UIL, pourtant peu coutumière du rapport de force, ces dernières années.

Prolétaires de tous les pays, prenez soin de vous !

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