Bon, c’est bien. Tout y est. Un député français, tout ce qu’il y a de plus officiel, énumère tous les aspects de la situation en Bolivie. De cette façon, nous savons que la vérité est connue en France.
Et donc, si les télés et radios se taisent sur la vérité, c’est forcément délibéré de leur part.
Sur France Inter, une journaleux a interviewé quelqu’un qui a dit la vérité également, mais on sentait bien que la journaleux n’avait pas envie d’enregistrer le procès verbal de coup d’état. Elle n’adhérait pas. Elle n’irait pas le répéter. Ça resterait dans le flou, souterrain.