Donc, les ami(e)s toulousain(ne)s des étudiantEs palestinienNEs et les citoyen(ne)s toulousain-ne-s sont privé-e-s (par décision de ce-LL-eux qui disposent de l’autorité) du droit de laisser les étudiantes-étudiants du Mirail nous faire entendre des orateurs(trices) exposer sur le sort de leurs frères (sœurs) palestinien-n-es alors que la fac devrait être ouverte à tou-te-s les intellectue(ll)es invitéEs par les militant-e-s régiona(lles)aux. Pourtant, -il-elle-s sont assez avisé(e)s, étant e-elles-ux mêmes des intellectuelLEs.
La même chose m’est arrivée quand je devais y présenter le livre « Marine Le Pen amène le pire ». Refus, sujet clivant, etc.
Maxime (prénom masculin-féminin) Vivas,
écrivain qui fut une jeune recrue et une vaillante sentinelle sans changer de sexe.