RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

interventions de Manolis Glezos et Zoé Constantopoulou à Salonique

Conférence de presse de l’Unité Populaire à la foire Internationale de Salonique

Intervention de Manolis Glezos :

« Ces élections sont déterminantes parce qu’elles donnent à la décision du peuple la possibilité de balayer tout ce régime pourri, tout ce régime oppresseur, tout ce régime de violence et de corruption et de jouer lui-même son rôle » a souligné M. Glezos.

« Si mon opinion a quelque valeur, ces élections ne sont pas importantes, mais elles sont déterminantes dans le destin de notre peuple pour plusieurs décennies »

« Je pense que notre histoire ne demande pas à chaque électeur de juger, ne lui demande pas de choisir, mais lui demande de décider. Que le peuple décide enfin de prendre en main son destin, le présent et le futur. »

M.Glezos a demandé au peuple : « d’écouter l’histoire qui frappe à la porte et que tous ensemble nous allions la lui ouvrir. Il ne peut pas y avoir de spectateurs à ce combat, il ne peut pas y avoir d’indifférents, il faut que nous soyons tous au créneaux, il faut que tous ensemble nous allions au combat, que nous ouvrions la porte à l’histoire, pour qu’entre l’espoir, pour qu’entre la vision, pour qu’entre l’avenir qui nous appartient, à nous, et non à quelqu’un d’autre. »

Il a enfin appelé ses anciens camarades à être en tête du combat : « Et pour cela j’appelle tous mes anciens camarades à se tenir, comme jadis, à nouveau en tête du combat pour la justice et la liberté, que tous ensemble nous proclamions : « En avant, pour la Grèce, pour la justice, pour la liberté ! »

http://kinisienergoipolites.blogspot.fr/2015/09/blog-post_81.html

intervention de Zoé Constantopoulou :

« L’Unité Populaire représente le premier sursaut dans la tempête du nouveau mémorandum, elle représente l’espoir surlequel certains ont jeté de la terre pour l’enterrer et de la boue pour le recouvrir » a souligné Z. Constantopoulou.

(cet espoir) « Non seulement il n’est pas mort, mais il couve dans le cœur du peuple et de la société et il s’enflammera bientôt. Nous avons le devoir de le garder vivant et de le transmettre aux nouvelles générations qui sont le plus les victimes des mémorandum. »

« Dans les faits nous prouvons que la seule voie possible n’est pas la soumission, mais la lutte, la résistance populaire, le combat. Nous le prouvons par notre exemple et je pense que les 25 députés qui ont pris l’initiative de ne pas capituler pour constituer le noyau de la résistance et que Panaiotis qui a pris la responsabilité de ce noyau méritent notre respect et reconnaissance pour ce qui a manqué à ceux qui ont aussi vite oublié ce qu’ils avaient dit ,il y a tout juste un an à Salonique. »

« Je veux dire que malgré les sondages, la détermination de notre peuple ,la réponse de notre peuple, à ces élections organisées sur ordre pour éliminer les forces de la gauche réellement radicale montrera que l’allié le plus fiable dans le combat contre l’assaut de la dictature du mémorandum est le peuple. »
http://kinisienergoipolites.blogspot.fr/2015/09/blog-post_13.html

»» http://kinisienergoipolites.blogspot.fr
URL de cet article 29216
   
« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Les moyens de défense contre un danger extérieur deviennent historiquement les instruments d’une tyrannie intérieure.

James Madison
4ème président des Etats-Unis, 1751-1836

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.