Les blattes vivent en petits groupes de type familial. Ces groupes se composent d’individus du même âge et probablement nés de la même mère. Dans les habitations, ces groupes se rassemblent pour former des grandes communautés de plusieurs centaines ou même de milliers d’individus. Cependant, le concept de hiérarchie ou de spécialisation des tâches est inexistant. Chaque individu est autonome. Wikipedia
Depuis 400 millions d’années...
Chez l’humain, on retrouve l’équivalent dans la sphère des affaires et de la politique. Si la blatte peut ruiner, anéantir un appartement, la blatte « humaine » est apparue il y a longtemps et est en train de désintégrer une planète.
Nourrie au « grand » savoir, venimeuse, hypocrite, mielleuse, menteuse, grimacière, elle est un individu autonome, sans scrupule, crépusculaire, c’est une sorte de chien dressé aux idées reçues, dénué d’empathie.
Zombie !
Fecal Focal Point
Des abris où leurs excréments sont abondants apparaissent (en anglais un Fecal Focal Point). A cet endroit, les insectes sont en sécurité. Wikipedia
Elles sont en sécurité dans un grand building créé par la masse accroupie et silencieuse, dont la seule écriture est un X, seule arme pour le protéger dans les guerres du 21e siècle entre gouvernements et peuples.
La BP, ou blatte politique, nouée à la BF ( blatte financière), a charpenté des armées de BS – blattes-soldats -, pour affermir son pouvoir. Après avoir créé le phénomène de la mondialisation, consistant à abattre les murs de la maison Terre, rendant ainsi friable la défense « compartimentale » ou cellulaire à la base de la résistance de tout être vivant.
Réalisations de la blatte humaine
Une fois les murs désagrégés des pays, la blatte a poursuivi sa randonnée de destruction dans une série de manigances en empruntant de manière subconsciente toutes les formes de camouflages que l’on peut retrouver dans la nature.
Pour ne pas être identifiée, une blatte BP ou BF empruntera le déguisement pastoral de la religion de l’avoir : la cravate.
Exemple – au hasard – de Blatte-Politique
Se servant d’organismes gouvernementaux sous maints maquillages, la BP, se livre à une série de nœuds géopolitiques, afin d’ouvrir les frigos de la Planète et de s’emparer des ors noirs, ou tout autres richesses appétissantes, sous une facture de bienfait à la masse en décomposition qui finira dans le Focal Fecal Point du but déguisé.
Le Blattaria a jusqu’à maintenant réussi à dépecer la moitié de la Maison-Terre en présentant l’économie comme un nœud gordien.
En format « troc », 100 vaches vivantes = 100 vaches réelles.
En format boursier, 100 vaches invisibles peuvent être achetés en format PCAApar des génies de la finance qui s’y connaissent en économie.
100 vaches de papiers ne nourriront jamais personne, mais elles serviront à engranger de l’avoir invisible transformé en visible par les BF ( blatte financière).
L’avenir du Blattaria
L’avenir du Blattaria est énorme en potentialité : les avocasseries et les longueurs, ainsi que les sommes fournies par les masses populaires, finira par rendre brune une planète bleue avec quelques riches angoissés de perdre leur pouvoir et leur avoir. Mais la blatte étant résistante, et son succès datant de milliers d’années, on ne peut pas espérer tuer la bête à coups d’armes blanches.
Les blattes peuvent rester un mois sans manger ni boire. Une blatte décapitée peut survivre plusieurs jours (il est à rappeler que le système nerveux centraldes insectes est constitué d’une chaîne de ganglions le long du corps, et non centré autour d’un cerveau comme pour les vertébrés), la respiration s’effectuant par des trous disséminés dans son corps, les spiracles et son abdomen pouvant stocker de l’énergie pour cette durée1. Wikipedia
La BP et la BF représentent en ce début de 21e siècle le défi le plus grand pour la survie de l’Humanité.
Les blattes sont très résistantes. En cas d’explosion nucléaire anéantissant l’humanité, les blattes survivraient. (Source) . Probablement grâce aux centaines de tunnels et d’abris payés par le citoyen pour protéger l’élite d’une planète-appartement.
Gaëtan Pelletier
8 avril 2012