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Feed-back en 2005 :
le rassembleur de la gauche de la gauche
En octobre 2005, pour faire avancer les revendications portées par le « Non de gauche » à la Constitution européenne, José Bové déclare que selon lui, des alliances entre mouvements seront nécessaires et n’exclut pas, si la tâche lui est confiée, de se porter candidat à l’élection présidentielle de 2007 dans le cadre d’une unité des forces anti-libérales.
Le 13 juin 2006, il se déclare candidat à la présidentielle dans un entretien au journal Libération13, s’estimant le plus apte à rassembler la gauche de la gauche.
2007 : le porte-étendard de l’altermondialisme
Ancien leader paysan, contestataire et radical dans l’âme, José Bové, 53 ans, vedette de l’altermondialisme, dont la candidature présidentielle sera restée incertaine jusqu’au bout, est un pacifiste, mais capable d’actions musclées. Il s’est notamment consacré à la lutte contre la « logique libérale », la mondialisation et les produits transgéniques.
Il devient le porte-étendard de l’altermondialisme en dehors des frontières. Et avec la notoriété, vient l’ambition politique.
2009 : le député européen europe écologie / les verts
En 2009, José Bové a été choisi comme tête de liste de la circonscription Sud-Ouest de la France dans le cadre du rassemblement Europe Écologie, qui regroupe des militants appartenant aux principaux partis et associations écologistes. À la faveur d’un large succès des listes écologiques, menées par Daniel Cohn-Bendit et Eva Joly en Île-de-France, José Bové et sa colistière sont élus députés européens le 7 juin 2009. Il est désormais dans le nouveau parti Europe Écologie Les Verts, qui est le fruit de la fusion des Verts et d’Europe Écologie.
Depuis 2009 : vice-président de la commission Agriculture et développement rural au Parlement européen
José Bové est vice-président de la commission Agriculture et développement rural et membre de la commission Commerce international. Il participe aux délégations du Parlement européen à la Commission parlementaire Cariforum – UE (quinze pays des Caraïbes), à l’Assemblée parlementaire paritaire ACP – UE (Afrique/Caraïbes/Pacifique) et pour les relations avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Il est élu dans l’euro-région Sud-Ouest.
Objectifs en 2014 : Et si José Bové présidait la Commission européenne ?
Nouveau en 2014 : le président de la Commission européenne devra être choisi en tenant compte des résultats des élections européennes organisées fin mai. Alors, les différents partis devraient chacun désigner leur tête de liste, celui qui incarnera la campagne au niveau européen et sera leur candidat à la succession de José Manuel Barroso.
L’Aveyronnais José Bové est candidat à la candidature de la présidence de la Commission européenne. Les Verts européens sont la seconde formation politique pan-européenne à choisir leur candidat pour succéder au conservateur portugais José Manuel Barroso. Ils viennent de lancer leur campagne pour trouver leur candidat à ce poste. Quatre candidats sont en lice : José Bové, 60 ans, l’Allemande Rebecca Harms, 57 ans, actuelle co-présidente du groupe des verts au Parlement européen, l’Italienne Monica Frassoni, 50 ans, et l’Allemande Ska Keller, 32 ans, ex-porte-parole des Jeunes Verts européens.
Rembobinage made in Chien Gué :
« 2005, pour faire avancer les revendications portées par le « Non de gauche à la Constitution européenne... »
« 2014, L’Aveyronnais José Bové est candidat à la candidature de la présidence de la Commission européenne »
Pincez-moi, parce que j’ai peut-être mal lu …
Bon, député européen, à la limite, je veux bien, car en bon révolutionnaire résistant, je sais qu’attaquer l’ennemi en son sein, est une méthode risquée, mais qui peur s’avérer payante.
Par contre devenir « The big » chef de l’organisme qu’on veut démonter, je ne vois pas, à ce niveau, comment il pourrait s’y prendre …
A moins que je ne sois stupide ? Pourtant, je connais un proverbe qui dit « il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ». José Bové n’est donc pas un imbécile ! Quant à moi … dans ce cas, je pense que je vais aller voir mon psychanalyste …
L’article chez lui : José Bové, du Larzac à l’Europe