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2005-01-14

Rentrée 2005 : encore des postes en moins, quel avenir pour nos enfants ?

Voilà ce que sera la rentrée 2005 dans notre pays :


 45 000 élèves de plus dans le 1er degré vont permettre la création de 1000 nouveaux postes

 42 000 élèves de moins dans le 2nd degré entraînent la suppression de 5 000 postes d’enseignants


CHERCHEZ L’ERREUR !


Vous avez trouvé ? ...

( Quarante-cinq élèves supplémentaires dans le 1er degré sont nécessaires pour créer un poste d’enseignant...

Mais seulement huit élèves en moins dans le 2nd degré sont suffisants pour supprimer un poste d’enseignant)


L’académie du Nord-Pas-de-Calais arrive en tête, et de loin, pour les suppressions de postes (-895 !)
alors qu’elle est en queue de peloton pour la réussite au bac, au brevet et pour les tests d’évaluation en 6ème... Quel crédit peut-on accorder aux propositions du Ministre quand il parle de " réussite pour tous ", et " de lutte contre l’échec scolaire " dans sa loi d’orientation pour l’école ?

Pour mieux comprendre ce qui se prépare pour l’école et ce que sera la rentrée 2005, des enseignants du Dunkerquois (avec le soutien des syndicats de la FSU)
vous invitent à un débat : " Quel avenir pour nos enfants ? "

- avec Christian LAVAL, sociologue,
qui présentera les enjeux de la loi d’orientation pour l’école

LE VENDREDI 14 JANVIER à 18h30,
dans l’amphi SCHLUMPETER du pôle Lamartine de l’université du Littoral à Dunkerque (place du marché)

 Transmis par PeADk : pea.dk@laposte.net.

URL de cet article 1964
   
CUBA OU L’INTELLIGENCE POLITIQUE - Réponses à un président des États-Unis (Livre format PDF)
Jacques-François BONALDI
365 JOURS APRÈS Aujourd’hui 22 mars 2017, voilà un an jour pour jour que Barack Obama entrait de son pas caractéristique sur la scène du Grand Théâtre de La Havane pour une première : un président étasunien s’adressant en direct et en personne au peuple cubain. Trois cent soixante-cinq jours après, que reste-t-il de ce qui était le clou de sa visite de deux jours et demi à La Havane ? Pas grand-chose, je le crains… Les événements se déroulent maintenant si vite et tant de choses se sont (…)
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« Le pire des analphabètes, c’est l’analphabète politique. Il n’écoute pas, ne parle pas, ne participe pas aux événements politiques. Il ne sait pas que le coût de la vie, le prix de haricots et du poisson, le prix de la farine, le loyer, le prix des souliers et des médicaments dépendent des décisions politiques. L’analphabète politique est si bête qu’il s’enorgueillit et gonfle la poitrine pour dire qu’il déteste la politique. Il ne sait pas, l’imbécile, que c’est son ignorance politique qui produit la prostituée, l’enfant de la rue, le voleur, le pire de tous les bandits et surtout le politicien malhonnête, menteur et corrompu, qui lèche les pieds des entreprises nationales et multinationales. »

Bertolt Brecht, poète et dramaturge allemand (1898/1956)

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