L’eau est bien un élément de l’animosité entre ces pays voisins, un qui n’a pas besoin de boutefeux pour prospérer : des retenues plus importantes en territoire turc sont essentielles au développement des cultures, et peuvent affamer toutes les zones agricoles en aval. Erdogan a peut-être juste anticipé un inévitable conflit en soutenant la "révolution" syrienne, et en liquidant (haha) la prospérité d’Alep.
Au fait, la fourniture d’eau potable par la Turquie à Israël a-t-elle repris après l’épisode Marmara ?