Cette affaire sent l’affaire politique a plein nez. La police nationale a l’air d’avoir trouvé un bouc emissaire en incrimininant la surveillance générale sncf. Pourquoi la préfecture de police refuse t’elle une enquete de l’IGPN sur les circonstances de l’interpellation. comment des policiers peuvent ils conduirent une victime blessée gravement et saignant abondamment et ne trouver ensuite aucune trace de sang dans le dit véhicule. Les policiers ont changé déjà à trois reprises leurs dépositions alors que les agents de la surveillance génerale n’ont rien changé a leurs dires depuis le début.Affaire politico judiciaire ? La vérité est surement ailleurs !!!!!