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Cadeau de Noël : "Danzon n° 2", dirigé par Gustavo Dudamel

Regardez bien la vidéo qui va boucler ce court billet en guise de cadeau de Noël et d’étrennes réunis. C’est ma mioche de dix-huit berges qui vient de me faire découvrir ça. Regardez bien la jeunesse du chef d’orchestre, Gustavo Dudamel (né en 1981).

Regardez bien les musiciens de l’orchestre, l’âge des musiciens, la beauté du chef d’orchestre et des musiciens. Écoutez la fulgurante beauté de cette musique composée par un guère beaucoup plus vieux (enfin, de mon âge à moi), Arturo Marquez.

Le nom de l’orchestre ? Simon Bolivar des jeunes du Venezuela. Non, non, je ne vous parlerai pas de Chavez ici. Mais l’orchestre Simon Bolivar a, sinon une mission politique, du moins une mission sociale.
Troupes fringantes

Il s’inscrit dans le cadre de la « Fundación del Estado para el Sistema Nacional de las Orquestas Juveniles e Infantiles de Venezuela ». Le but d’el Sistema, insérer les mômes défavorisés dès l’âge de deux ans par la découverte et la pratique de la musique classique.

Son fondateur, José Antonio Abreu, chef d’orchestre… et économiste ! Vous avez bien lu : é-co-no-miste. Et pas seulement musicien et économiste, mais aussi homme politique puisqu’il fut ministre de la culture de son pays en 1988.

Oui, c’est ma gamine de dix-huit berges qui m’a fait découvrir ce joyau. Quel plaisir quand le cours des choses est inversé et que ce sont vos mômes qui vous font découvrir le monde. Quand je vous dis que c’est de ces troupes fringantes que viendra la lumière.

Allez, je vous laisse avec eux, avec leur musique. Chapeau bas, les mioches.

Source : http://yetiblog.org/index.php?post/dudamel-danzon-2

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L’Etat voyou
William BLUM
Quatrième de couverture « Si j’étais président, j’arrêterais en quelques jours les attaques terroristes contre les États-Unis. Définitivement. D’abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins, aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions d’autres victimes de l’impérialisme américain. Ensuite, j’annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j’informerais Israël (…)
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Dans toute idée, il faut chercher à qui elle s’adresse et de qui elle vient ; alors seulement on comprend son efficacité.

Bertolt Brecht

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