RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Pourquoi le progrès ne s'applique-t-il pas aux hommes ?

La vie n’est-elle pas sacrée pour les hommes au fait, ce matin au réveil (j’avais prévu la veille de me poser cette question en commençant cette belle journée pluvieuse) je me suis dit : as-tu envie de tuer quelqu’un aujourd’hui, étrange question me diriez-vous, mais fondamentale. Je me suis dit il y a forcément des arnaques derrières ces guerres. Pour moi des avions de combats dans les frontières d’un autre pays ne peut être qu’immorale et j’ai beau réfléchir, je ne vois pas d’autres mots pour qualifier ces agressions.

l’homme a juste moderniser son environnement, mais il n’a pas progrésser d’un millimètre au niveau du droit de chaque homme, de pouvoir vivre. arrêtons d’écrire des déclarations universelles, appliquons nous le bon sens et la raison avec les rapports humains, nous sommes tous responsables, que ce soit en faisant ou en ne faisant rien. Tout homme qui tue ou qui ordonne de tuer devrai être derrière les barreaux (celà vaut pour tous les hommes de la planète), désolé mais je ne vois pas d’autres places à ces gens là "certains me disent tu es tendre avec ces gens là ". La justice doit être rendu, il n’y a que comme cela que l’on pourra "avancer" vous savez le progrès qu’on nous parle toujours.

Cette justice, loi fondamentale des êtres humains, avant de me coucher ce soir je me reposerai cette question as-tu envie de tuer quelqu’un, je connais déjà ma réponse et je vous laisse la deviner ! Pourquoi n’essayons nous pas la paix, gouttez y vous verrez vous y pendrer goût.

Douce nuit à tous le monde, au moins quand on dort, on fait pas de conneries et c’est un faible mot.

URL de cet article 17873
   
L’Affaire Assange, histoire d’une persécution politique
Nils MELZER
L’affaire Assange, c’est l’histoire d’un homme persécuté et maltraité pour avoir révélé les sordides secrets des puissants, notamment les crimes de guerre, la torture et la corruption. C’est l’histoire d’un arbitraire judiciaire délibéré dans des démocraties occidentales qui tiennent par ailleurs à se présenter comme exemplaires en matière de droits de l’homme. C’est l’histoire d’une collusion délibérée des services de renseignement dans le dos des parlements nationaux et du (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Lorsque l’on tente, comme ce fut le cas récemment en France, d’obliger une femme à quitter la Burqa plutôt que de créer les conditions où elle aurait le choix, ce n’est pas une question de libération mais de déshabillage. Cela devient un acte d’humiliation et d’impérialisme culturel. Ce n’est pas une question de Burqa. C’est une question de coercition. Contraindre une femme à quitter une Burqa est autant un acte de coercition que l’obliger à la porter. Considérer le genre sous cet angle, débarrassé de tout contexte social, politique ou économique, c’est le transformer en une question d’identité, une bataille d’accessoires et de costumes. C’est ce qui a permis au gouvernement des Etats-Unis de faire appel à des groupes féministes pour servir de caution morale à l’invasion de l’Afghanistan en 2001. Sous les Talibans, les femmes afghanes étaient (et sont) dans une situation très difficile. Mais larguer des "faucheuses de marguerites" (bombes particulièrement meurtrières) n’allait pas résoudre leurs problèmes.

Arundhati Roy - Capitalism : A Ghost Story (2014), p. 37

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.