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La mondiabolisation

Tout le monde crie à la mondialisation, je veux dire la mondiabolisation, ça me rappelle le temps du film ’’Le train sifflera trois fois’’ avant de partir où tout le monde a le temps de rattraper le train, car ses portières sont encore ouvertes, mais cette fois-ci le train ne sifflera pas, car tout le monde est averti à la gare et ses portières seront fermées avant même de partir, en plus c’est un TGV.

la mondialisation aujourd’hui ne sera pas uniquement celle de l’économie mais aussi celle de la pauvreté, du terrorisme, de la mafia financière.
Il n’y aura plus de pays, mais des communautés avec une monnaie unique : celle des intérêts communs.

la mondialisation ne sera pas celle du transfert de technologie, mais aussi celle du transfert de ses produits et de ses produits toxiques, certains pays loueront leurs sols comme cimetière aux produits des déchets nucléaires.

On promettra à d’autres l’industrie là où la main d’oeuvre est moins chère, pour ne pas dire exploitée et à d’autre l’industrie du sexe pour ne pas dire la pornographie.

Les riches seront un même lobby, quelque soit leur pays et les pauvres auront un même Dieu, quelque soit leurs religions.

L’ère du troisième millénaire aura comme Dieu l’argent pour les uns et dieu pour d’autres

la nouvelle ère sera celle du gros poisson qui avale les petits.

la nouvelle ère sera celle des pauvres qui auront de plus en plus tort, le plus fort ayant toujours raison.

Bref la nouvelle ère sera celle de la révolte et non plus de la révolution.

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CUBA OU L’INTELLIGENCE POLITIQUE - Réponses à un président des États-Unis (Livre format PDF)
Jacques-François BONALDI
365 JOURS APRÈS Aujourd’hui 22 mars 2017, voilà un an jour pour jour que Barack Obama entrait de son pas caractéristique sur la scène du Grand Théâtre de La Havane pour une première : un président étasunien s’adressant en direct et en personne au peuple cubain. Trois cent soixante-cinq jours après, que reste-t-il de ce qui était le clou de sa visite de deux jours et demi à La Havane ? Pas grand-chose, je le crains… Les événements se déroulent maintenant si vite et tant de choses se sont (…)
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« (...) on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit en premier lieu conquérir le pouvoir politique, s’ériger en classe dirigeante de la nation, devenir lui-même la nation, il est encore par là national, quoique nullement au sens bourgeois du mot. »

Karl Marx, Friedrich Engels
Manifeste du Parti Communiste (1848)

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