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SOUSCRIPTION POUR LE FILM SUR LE CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE

Depuis plusieurs mois, Fabrice Ferrari (le producteur de la société de production La Vaka) et Gilles Perret (réalisateur de « De mémoires d’ouvriers »), filment et recueillent les témoignages des acteurs ayant participé à l’élaboration et la mise en place du programme du Conseil national de la Résistance. Ce documentaire intitulé « Les jours heureux » veut raconter l’histoire de ces quelques hommes sans qui la Sécurité sociale, les retraites par répartition, les comités d’entreprise et bien d’autres choses n’existeraient pas aujourd’hui en France. L’occasion aussi de rencontrer des historiens, des journalistes, des analystes spécialistes de la question de la déconstruction de ce programme par quelques uns et de voir que, pour tous, le constat est unanime : le programme du Conseil national de la Résistance est d’une actualité criante et il y a urgence à le rendre visible en le remettant sur le devant de la scène.

Ce documentaire a été proposé à plusieurs chaînes de télévision. Aucune n’a souhaité « prendre le risque » de raconter une telle histoire. Trop compliqué, trop risqué, trop engagé. Trop, quoi !

Alors pour que ce film existe, pour qu’il soit vu au cinéma et ailleurs, pour que cette histoire belle et singulière puisse être racontée à tous :

GILLES PERRET ET FABRICE FERRARI ONT BESOIN DE VOUS !

Le M’PEP (et le Grand Soir, du coup) vous invite à les aider

Vous trouverez ci-dessous le lien vers le site et le bon de souscription à renvoyer :

http://www.lavaka.fr/Accueil.html

http://www.lavaka.fr/Souscription_%22les_jours_heureux%22.html

Par le Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP).

Le 16 juin 2012.

URL de cet article 16991
   
Figures Révolutionnaires de l’Amérique latine
Rémy HERRERA
Cet ouvrage propose au lecteur sept chapitres consacrés à quelques-uns des révolutionnaires les plus importants d’Amérique latine et caribéenne : Simón Bolívar, José Martí, Ernesto Che Guevara, Hugo Chávez, Fidel Castro et Evo Morales. L’Amérique latine et caribéenne offre depuis le début des années 2000 l’image de peuples qui sont parvenus à repasser à l’offensive, dans les conditions historiques très difficiles qui sont celles de ce début de XXIe siècle. C’est cette puissante mobilisation (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Si le Président se présente devant le Peuple drapé dans la bannière étoilée, il gagnera... surtout si l’opposition donne l’impression de brandir le drapeau blanc de la défaite. Le peuple américain ne savait même pas où se trouvait l’île de la Grenade - ce n’avait aucune importance. La raison que nous avons avancée pour l’invasion - protéger les citoyens américains se trouvant sur l’île - était complètement bidon. Mais la réaction du peuple Américain a été comme prévue. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce qui se passait, mais ils ont suivi aveuglement le Président et le Drapeau. Ils le font toujours ! ».

Irving Kristol, conseiller présidentiel, en 1986 devant l’American Enterprise Institute

Le 25 octobre 1983, alors que les États-Unis sont encore sous le choc de l’attentat de Beyrouth, Ronald Reagan ordonne l’invasion de la Grenade dans les Caraïbes où le gouvernement de Maurice Bishop a noué des liens avec Cuba. Les États-Unis, qui sont parvenus à faire croire à la communauté internationale que l’île est devenue une base soviétique abritant plus de 200 avions de combat, débarquent sans rencontrer de résistance militaire et installent un protectorat. La manoeuvre permet de redorer le blason de la Maison-Blanche.

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