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2004-07-02.04

Grande-Synthe : Le Manifeste, théâtre pour les Citoyens.

Juillet arrive, le désert culturel s’annonce : VRAI

Dans les théâtres les programmations sont terminées : VRAI

Il faut faire 600 kilomètres pour trouver du théâtre qui n’ait pas oublié sa tête : VRAI

Tout le monde part juillet-août en vacances : ARCHI FAUX

L’été on a envie de s’aérer la tête : JUSTEMENT

Et que fait la population qui reste dans ce coin de la France où les cigales ne chantent pas ?

Elle se rassemble pendant 3 jours au Palais du Littoral pour prendre un peu de soleil dans la tête, défendre son point de vue qui n’est pas forcément celui des institutions qui toute l’année font "la Culture", pour boire un coup avec les artistes, pour entendre des auteurs qu’elle n’entendra pas dans les institutions qui toute l’année font "la Culture", pour boire encore un coup avec les artistes, pour ne pas en revenir que le théâtre est un voyage immobile inépuisable.

Grande-Synthe :

le Manifeste des 2 - 3 et 4 juillet au Palais du Littoral ;
Il s’agit d’un rassemblement international pour un théâtre motivé qui se donne aussi l’objectif de rendre la parole au Citoyen...

N’hésitez pas à découvrir le programme complet sur
http://www.compagniedesmersdunord.com ,

et à venir participer aux tribunes d’échanges et à assister aux spectacles (de fin d’après-midi et de soirée)...

 Transmis par : PeADk : pea.dk@laposte.net.


URL de cet article 1672
   
Putain d’usine, de Jean Pierre Levaray.
« Tous les jours pareils. J’arrive au boulot et ça me tombe dessus, comme une vague de désespoir, comme un suicide, comme une petite mort, comme la brûlure de la balle sur la tempe. Un travail trop connu, une salle de contrôle écrasée sous les néons - et des collègues que, certains jours, on n’a pas envie de retrouver. On fait avec, mais on ne s’habitue pas. On en arrive même à souhaiter que la boîte ferme. Oui, qu’elle délocalise, qu’elle restructure, qu’elle augmente sa productivité, (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Si j’étais le président, je pourrais arrêter le terrorisme contre les Etats-Unis en quelques jours. Définitivement. D’abord je demanderais pardon - très publiquement et très sincèrement - à tous les veuves et orphelins, les victimes de tortures et les pauvres, et les millions et millions d’autres victimes de l’Impérialisme Américain. Puis j’annoncerais la fin des interventions des Etats-Unis à travers le monde et j’informerais Israël qu’il n’est plus le 51ème Etat de l’Union mais - bizarrement - un pays étranger. Je réduirais alors le budget militaire d’au moins 90% et consacrerais les économies réalisées à indemniser nos victimes et à réparer les dégâts provoqués par nos bombardements. Il y aurait suffisamment d’argent. Savez-vous à combien s’élève le budget militaire pour une année ? Une seule année. A plus de 20.000 dollars par heure depuis la naissance de Jésus Christ.

Voilà ce que je ferais au cours de mes trois premiers jours à la Maison Blanche.

Le quatrième jour, je serais assassiné.

William Blum

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