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2004-06-20

Street party des précaires

Invitation à la première street party des précaires :

Ils nous mettent à la rue ? Prenons-la !
Ils nous payent au lance-pierre... Organisons la fronde !

Nous sommes de plus en plus nombreux à subir la précarité.

Contre cette forme d’esclavagisme moderne, des travailleurs précaires
(salariés de la restauration rapide, jeunes chercheurs, stagiaires,
emplois-jeunes, forçats du CDD, chômeurs, free lance, interimaires,
intermittents...) organisent une :

STREET PARTY
Le dimanche 20 juin de 15h à minuit
De Belleville au parc de Bercy

Venez briser le silence
Venez faire du bruit
Venez vous réapproprier la rue, et danser

Pour briser vos chaînes, ne brisez pas la chaîne :
Envoyez ce mail à au moins 7 de vos potes de galère (ou solidaires).

 En envoyant ce message à ses amis gladiateurs, l’esclave Spartacus a
fait trembler l’empire romain !
 En envoyant ce message à Malcolm X, Martin Luther King a fait abolir les
lois ségrégationnistes aux Etats-Unis d’Amérique !
 En envoyant ce message à toute sa tribu de Sioux, Sitting Bull défit
l’armée du général Custer !

 Mais... parce qu’il a rompu la chaîne de solidarité, Marcel Bézu a sombré
dans l’oubli...

Contact : precaire@no-log.org
Site web : http://streetprecaire2004.free.fr/

URL de cet article 1648
   
Les Mondes d’Après (nouvelles d’anticipation écologique)
DIVERS
PAUL ARIES, AURÉLIEN BERNIER, FRÉDÉRIC DENHEZ, MICHEL GICQUEL, JÉRôME LEROY, CORINNE MOREL-DARLEUX, JACQUES TESTART, FRED VARGAS, MAXIME VIVAS Comment ça, y a pu d’pétrole ! ? Faut-il remplacer la Société du Travail Obligatoire par la Société du Partage Obligatoire ? Vous rêvez d’enfouir Daniel Cohn-Bendit dans un tas de compost ? Peut-on faire chanter « l’Internationale » à Dominique Strauss-Kahn ? Le purin d’ortie est-il vraiment inoffensif ? 155 pages 12 euros
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"De toutes les ironies exprimées par la politique étrangère américaine, notre position vis-à -vis de Cuba est la plus paradoxale. Une forte dégradation de la situation économique a provoqué une poussée du nombre de Cubains entrant illégalement aux Etats-Unis.

Nous faisons tout ce que nous pouvons pour détériorer la situation économique et ainsi accroître le flux. Nous encourageons également cet exode en accordant aux Cubains, qui arrivent illégalement ou qui s’approchent par voie de mer, un statut de résident et une assistance pour s’installer.

Dans le même temps, nous n’avons pas respecté les quotas de visas pour les Cubains désireux d’immigrer aux Etats-Unis [...] quand Castro tente d’empêcher des cubains malheureux de quitter leur pays infortuné, nous l’accusons de violer des droits de l’homme. Mais quand il menace d’ouvrir grand les portes si nous continuons à accueillir sans limites des cubains sans visas - y compris ceux qui ont commis des actes de violence pour aboutir à leurs fins - nous brandissons des menaces imprécises mais aux conséquences terribles. "

Jay Taylor, responsable de la section des intérêts américains à Cuba entre 1987 et 1990, in "Playing into Castro’s hands", the Guardian, Londres, 9 août 1994.

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