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2004-06-12

Rencontre avec Olga Aredez - Mère de la Place de Mai.

Les Pénélopes ont le plaisir de vous inviter à rencontrer Olga Aredez

Olga Aredez est Mère de la Place de Mai, figure de la lutte contre la
répression et pour la mémoire à Jujuy, en Argentine.
Son mari, Luis,
maire de Ledesma dans la province de Jujuy a disparu lors de la nuit de
la terreur en juillet 1976. Depuis, elle est engagée dans la lutte
contre les multinationales sucrières.

Samedi 12 juin à 16 h
à La Passerelle, bar-resto coopératif
3, rue Saint-Hubert
75011 Paris
métro : Saint-Maur

 « Sol de noche - (Soleil de nuit, 45’) » réalisé par Pablo Milstein et
Norberto Ludin, et produit par Eduardo Aliverti, est l’histoire de
cette femme exemplaire et de son combat après l’un des épisodes les
plus sombres de la dictature militaire en Argentine : "la noche de los
apagones", au cours de laquelle plus de 400 personnes ont été enlevées.
Elles sont aujourd’hui encore portées disparues.

Aucun autre évènement ne reflète avec autant d’évidence la complicité
entre le pouvoir économique et les militaires argentins. L’arrivée de
la dictature militaire au pouvoir a en effet été l’occasion pour
l’oligarchie traditionnelle d’éliminer physiquement ceux et celles qui
remettaient en cause son pouvoir. Luis Aredez était l’un d’entre eux.
Olga, aujourd’hui, poursuit le même combat et lutte contre le silence
qui entoure ces exactions.

 Venez nombreux et nombreuses à partager cette projection et débat avec
cette défenseur-e des droits humains !

Cette rencontre est organisée grâce au soutien d’AGSPA (Association de
Grenoble Solidaire avec l’Argentine), de Martina Chavez et de La
Passerelle.

Les Pénélopes
Agence internationale femmes informations

Contact : penelopes@penelopes.org.

Les Pénélopes
21, rue Voltaire
75011 Paris
France

www.penelopes.org

URL de cet article 1626
   
Putain d’usine, de Jean Pierre Levaray.
« Tous les jours pareils. J’arrive au boulot et ça me tombe dessus, comme une vague de désespoir, comme un suicide, comme une petite mort, comme la brûlure de la balle sur la tempe. Un travail trop connu, une salle de contrôle écrasée sous les néons - et des collègues que, certains jours, on n’a pas envie de retrouver. On fait avec, mais on ne s’habitue pas. On en arrive même à souhaiter que la boîte ferme. Oui, qu’elle délocalise, qu’elle restructure, qu’elle augmente sa productivité, (…)
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L’une des choses les plus étonnantes dans le coup monté contre Assange, c’est son audace. Ils savent qu’ils peuvent s’en tirer parce que les grands médias refusent d’en parler.

Matt Kennard

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