RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Bernard GUETTA est-il pour ou contre le terrorisme ?

Ce matin l’affligeant Bernard GUETTA gratifie les malheureux auditeurs de la radio déVALorisée de sa kronique inique Géopolitik sur le thème : "La guerre qui ne dit pas son nom"

http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=260663

Un motard a placé une bombe magnétique sur la voiture d’un jeune ingénieur nucléaire qui est mort ainsi que son chauffeur

4 assassinats en deux ans de scientifiques spécialistes du nucléaire.

Plus trois explosions, deux sur des sites nucléaires et l’une dirigée contre le président iranien.

Et Guetta de deviner qu’il ne peut s’agir de hasard, rappelant que, dans ce genre de pays "la police est omniprésente" (pas chez nous ?)

Et Guetta de se demander qui peut bien mener cette guerre ? Israël ou les Etats-Unis (qui ont condamné l’assassinat) ?

On sait que Guetta pousse en permanence à des sanctions économiques et se réjouit toujours d’en constater les effets. Il est donc forcément un peu impliqué dans ce qu’il appelle maintenant " une guerre de l’ombre".

Une guerre ? Tiens, Tiens ! Imaginons que le Hamas, ou le Hezbollah, au hasard, réalise un attentat de ce type.

Entendez-vous la réaction de l’éditocrate Guetta ? Il n’aurait pas de mots assez durs, et se dépasserait en trémolos larmoyants.

Là  ? RIEN ! Des attentats terroristes ? Des innocents ? (Non bien sur, ils préparent sans doute une bombe !)

Non non, c’est une guerre de l’ombre pour GUETTA.

Non seulement il ne condamne pas, mais il se prépare à condamner ! Qui ? Mais l’Iran, bien sur :

"Il ne serait pas étonnant que l’Iran contre-attaque, car il a lui aussi des barbouzes, qu’il a déjà tenté d’utiliser contre les Etats-Unis."

URL de cet article 15583
   
Laurent Mauduit. Les Imposteurs de l’économie.
Bernard GENSANE
Serge Halimi expliquait autrefois pourquoi il ne voulait jamais débattre avec un antagoniste ne partageant pas ses opinions en matière d’économie : dans la mesure où la doxa du capitalisme financier était aussi « évidente » que 2 et 2 font quatre ou que l’eau est mouillée, un débatteur voulant affirmer un point de vue contraire devait consacrer la moitié de ses explications à ramer contre le courant. Laurent Mauduit a vu le « quotidien de référence » Le Monde se colombaniser et (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Puisque le commerce ignore les frontières nationales, et que le fabricant insiste pour avoir le monde comme marché, le drapeau de son pays doit le suivre, et les portes des nations qui lui sont fermées doivent être enfoncées. Les concessions obtenues par les financiers doivent être protégées par les ministres de l’Etat, même si la souveraineté des nations réticentes est violée dans le processus. Les colonies doivent être obtenues ou plantées afin que pas un coin du monde n’en réchappe ou reste inutilisé.

Woodrow Wilson
Président des Etats-Unis de 1913 à 1921

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.