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La guerre des jeux vidéo entre l’Iran, Israël, et les Etats-Unis.

10 décembre 2011 - Le jeu vidéo « Battelfield 3 » simule un assaut de l’armée des Etats-Unis contre la capitale iranienne, Téhéran, et c’est quelque chose qui n’a pas été bien ressenti en Iran. C’est pour cela que l’Iran a décidé de répondre en sortant son propre jeu vidéo : « L’attaque de Tel Aviv », selon l’information de l’agence locale FARS.

Le directeur de la Fondation Nationale d’Iran pour les jeux vidéos , Behruz Minaei, a déclaré qu’ils ont déjà démarré le projet et comptent beaucoup de programmeurs Iraniens prêts à coopérer à son développement.

Minael, qui a critiqué « Battefield 3 » pour être un produit avec « de nombreux défauts techniques et de vidéo », a assuré que « la localisation du jeu à Téhéran est inacceptable », ce que partagent les autorités iraniennes puisqu’elles l’ont déclaré illégal et l’ont interdit il y a une quinzaine de jours.

L’Iran, selon les explications du directeur de la Fondation, a déjà envoyé des lettres à la Compagnie responsable du jeu vidéo , Electronic Arts (EA), pour manifester leurs protestations, et elle ne s’est même pas prononcée.

(…) Selon les informations de l’agence FARS, il y a quinze jours 5 000 jeunes iraniens ont adhéré à une pétition sur Internet pour interdire Battefield, le premier jeu vidéo interdit par les autorités de Téhéran.

Source : http://www.aporrea.org/actualidad/n194650.html

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« Cremada » de Maïté Pinero
Bernard Revel
Prix Odette Coste des Vendanges littéraires 2017 Maïté Pinero est née à Ille-sur-Têt. Journaliste, elle a été correspondante de presse en Amérique Latine dans les années quatre-vingts. Elle a couvert la révolution sandiniste au Nicaragua, les guérillas au Salvador et en Colombie, la chute des dictatures chiliennes et haïtiennes. Elle a écrit plusieurs romans et recueils de nouvelles dont « Le trouble des eaux » (Julliard, 1995). Les huit nouvelles de « Cremada », rééditées par Philippe (…)
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Le fait est que les slogans du type "soutenons nos soldats" n’ont aucun sens... Et c’est tout l’objectif d’une bonne propagande. Il vous faut créer un slogan auquel personne ne s’oppose, et tout le monde y adhérera. Personne ne sait ce qu’il veut dire parce qu’il ne veut rien dire. Son importance réside dans le fait qu’il détourne l’attention d’une question qu’il aurait fallu poser : soutenez-vous notre politique ? Mais ça c’est une question qu’on n’a pas le droit de poser.

Noam Chomsky

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